Un regard sur un petit village de la vallée du Champsaur (et du cours d’eau Le Drac), nord des Hautes-Alpes, au nord de Gap…
Continuer la lecture

Un regard sur un petit village de la vallée du Champsaur (et du cours d’eau Le Drac), nord des Hautes-Alpes, au nord de Gap…
Continuer la lecture
Infos rassemblées par des laïques
On nous cache tout ? Ces 700 millions d’euros de patrimoine qui n’apparaissent pas dans les comptes du diocèse de Paris, 26.11.21, FranceTvInfo.fr, Alors que l’Église cherche de l’argent pour indemniser les victimes de prêtres pédophiles, la cellule investigation de Radio France révèle que le diocèse de Paris détient des immeubles d’une valeur de 700 millions d’euros sans que ces derniers apparaissent dans ses comptes. […]« .
Territoires perdus ou territoires vivants de la République ? 30.9.18 FranceCulture.fr, émission Être et savoir, Louise Tourret, Enseigner dans les quartiers populaires. Peut-on encore parler de « territoires perdus de la République » ? Perdus pour l’éducation, pour la France. Ces écoles, collèges, lycées ne seraient-ils pas au contraire des espaces, certes en tension, mais plus vivants encore que tout autre, tant la mission de l’école y est plus cruciale qu’ailleurs ? Et quelle est cette mission ? Deux enseignants, Iannis Roder, qui avait participé à l’ouvrage Les Territoires perdus de la République (éd. Mille et une nuits 2004) et Marguerite Graff qui a participé à l’ouvrage collectif « Territoires vivants de la République » (éd. La Découverte 2018), nous racontent comment ils pensent et conjuguent transmission des valeurs et des savoirs dans des banlieues populaires, avec des élèves issus de ce que l’on appelle aujourd’hui la diversité – ou encore ceux que le sociologue Mathieu Ichou, également avec nous cet après-midi, nomme simplement des enfants d’immigrés. […]«
« Allons z’enfants… la République vous appelle ! Iannis Roder, prof agrégé d’histoire dans un collège de Seine-Saint-Denis, éd. O. Jacob.
Les territoires perdus de la République, 14.4.15, éd. Fayard, coll. Pluriel & 1001 Nuits. Postface d’Emmanuel Brenner qui raconte l’histoire du livre et l’évolution de la situation à l’aide de matériaux collectés entre 2004 et 2015. Nouvelle édition du livre qui a fait basculer le débat sur l’école. Les Territoires perdus de la République, né du constat alarmé de professeurs de l’enseignement secondaire de la région parisienne, a paru pour la première fois en 2002. Les auteurs des attaques terroristes de 2015 étaient collégiens dans des établissements peu ou prou semblables à ceux évoqués dans le livre, au sein desquels il se produisait des « incidents » à caractère antisémite, raciste et sexiste. […] » – Wikipédia.
Crèches de Noël : Laurent Wauquiez gagne en appel, 6.9.21 LePoint.fr, Marc Leplongeon. La justice lyonnaise ne voit aucun acte de prosélytisme ou de revendication religieuse dans l’exposition sur l’art des santonniers organisée à l’hôtel de région en 2017. […]. La Ligue française pour la défense des droits de l’homme et du citoyen décide d’attaquer en justice la décision de Laurent Wauquiez. L’article 28 de la loi de 1905 sur la séparation des Églises et de l’État est, en effet, clair : « Il est interdit, à l’avenir, d’élever ou d’apposer aucun signe ou emblème religieux sur les monuments publics. » L’objectif est limpide : il s’agit d’empêcher les personnalités publiques de manifester la reconnaissance d’un culte ou de marquer une préférence religieuse. […] Il existe néanmoins une exception, dans laquelle Laurent Wauquiez semble s’être engouffré : la possibilité d’installer des crèches dans le cadre d’une manifestation culturelle, une exposition, par exemple. […]«
«J’atteste, contre la barbarie». « J’atteste qu’il n’y a d’être humain que celui dont le cœur tremble d’amour pour tous ses frères en humanité. Celui qui désire ardemment plus pour eux que pour lui-même liberté, paix, dignité. Celui qui considère que la vie est encore plus sacrée que ses croyances et ses divinités. J’atteste qu’il n’y a d’être humain que Celui qui combat sans relâche la Haine en lui et autour de lui. Celui qui, dès qu’il ouvre les yeux le matin, se pose la question : que vais-je faire aujourd’hui pour ne pas perdre ma qualité et ma fierté d’être homme ? » Abdellatif Laâbi – «J’atteste, contre la barbarie», album illustré par Zaü, éd. RueDuMonde.fr (à commander chez votre libraire)
L’âge des algorithmes : comment l’activisme remplace le militantisme du XXe siècle, 31.10.21 FranceCulture.fr, Signes des temps, Marc Weitzmann. « Boosté par les réseaux sociaux, un nouvel activisme remplace-t-il le militantisme encarté d’autrefois ? Le scandale des Facebook papers extrêmement documenté grâce aux fuites organisée par l’ingénieure Frances Haughen ancienne employée permet de revenir sur les effets effets non seulement de Facebook des réseaux sociaux sur le cours du monde depuis dix ans au moins. L’espoir que certains ont pu mettre sur l’activisme des blogueurs tunisiens ou syriens lors des printemps arabes s’est terni. On commence seulement à mesurer les effets des algorithmes dans le déclenchement d’émeutes violentes en Ethiopie, en Inde, au Pakistan, dans l’élection de Donald Trump bien sûr comme dans l’attaque contre le Capitole le 6 janvier dernier, mais aussi plus généralement dans la montée des populismes à travers le monde, et, en France […] Intervenants : Fabrice Epelboin, entrepreneur, spécialiste des médias sociaux, enseignant à Sciences Po ; Eric Sadin, philosophe, écrivain ; Rokhaya Diallo, éditorialiste, réalisatrice [controversée]. » […]
Le silo de céréales en cours de destruction, encore un des rares et vieux (1936) monuments de Gap (05) qui disparait. Voir le travail de l’historienne bas-alpine Hélène Vésian, « Les silos à grains en France dans les années 1930« , 2013
Gap laisse détruire le peu de patrimoine encore existant. La mairie propriétaire de la maison de Georges de Manteyer (plus ancienne que la cathédrale qui était à côté) l’a laissé s’écrouler. Un silo peut très bien s’aménager, tel le silo de céréales de Marseille Joliette devenu une salle de concert. Et, le silo de Riez, plus modeste, est répertorié par le Ministère de la Culture.
Gratin d’Halloween, une recette de Couleurs-Paysannes.fr (04 & 13), à la courge et au fromage bas-alpins et au riz de Camargue (Silos de Tourtoulen)
Foire aux courges (05) L’Epine – Magasins de Producteurs Couleurs-Paysannes.fr à Manosque (04), Venelles (13) et Valensole (04) – Halloween au château de La Tour d’Aigues (4)…
création, 1.11.21
Brèves infos rassemblées par des laïques
Gratin d’Halloween, une recette de Couleurs-Paysannes.fr (04 & 13), à la courge et au fromage bas-alpins et au riz de Camargue (Silos de Tourtoulen)
Foire aux courges (05) L’Epine – Magasins de Producteurs Couleurs-Paysannes.fr à Manosque (04), Venelles (13) et Valensole (04) – Halloween au château de La Tour d’Aigues (4)…
L’âge des algorithmes : comment l’activisme remplace le militantisme du XXe siècle, 31.10.21 FranceCulture.fr, Signes des temps, Marc Weitzmann. « Boosté par les réseaux sociaux, un nouvel activisme remplace-t-il le militantisme encarté d’autrefois ? Le scandale des Facebook papers extrêmement documenté grâce aux fuites organisée par l’ingénieure Frances Haughen ancienne employée permet de revenir sur les effets non seulement de Facebook des réseaux sociaux sur le cours du monde depuis dix ans au moins. L’espoir que certains ont pu mettre sur l’activisme des blogueurs tunisiens ou syriens lors des printemps arabes s’est terni. On commence seulement à mesurer les effets des algorithmes dans le déclenchement d’émeutes violentes en Ethiopie, en Inde, au Pakistan, dans l’élection de Donald Trump bien sûr comme dans l’attaque contre le Capitole le 6 janvier dernier, mais aussi plus généralement dans la montée des populismes à travers le monde, et, en France […]. Intervenants : Fabrice Epelboin, entrepreneur, spécialiste des médias sociaux, enseignant à Sciences Po ; Eric Sadin, philosophe, écrivain ; Rokhaya Diallo, éditorialiste, réalisatrice [controversée]. […]«
Documentaire. Profs en territoires perdus de la République, 13.10.21 LCP.fr « En 2002 paraissait Les Territoires perdus de la République [éd. Fayard coll. Pluriel], un ouvrage collectif dans lequel des professeurs de collègues et lycées de quartiers dits sensibles alertaient l’institution scolaire et l’opinion publique sur le climat de violence et d’intolérance qui s’installait dans ces établissements. La sortie du livre fut accompagnée d’un silence gêné ; un déni qui, pour ses auteurs, augurait des jours difficiles. Les attentats de janvier 2015 ont remis au centre du débat la question de la transmission des valeurs de la République. Plusieurs professeurs exerçant dans des collèges et lycées de la région parisienne livrent leur témoignage. » […]
Les Territoires perdus de la République – antisémitisme, racisme et sexisme en milieu scolaire Wikipédia : « est un ouvrage collectif, éd. Éditions Mille et une nuits 2002. Sous la direction de Georges Bensoussan sous le pseudonyme d’Emmanuel Brenner, il traite, comme l’indique son sous-titre, de l’antisémitisme, du racisme et du sexisme en milieu scolaire et plus particulièrement parmi les jeunes d’origine maghrébine. Une nouvelle édition, de poche [coll. Pluriel, éd. Fayard-Hachette 4.15, 416 pp. 9 €] ». Wikipédia, vu 26.10.21
Les territoires perdus de la République, Emmanuel Brenner/Georges Bensoussan, coll. Pluriel, éd. Fayard-Hachette 4.15, ISBN 978-2-81850482-6, Préface d’Alain Finkielkraut. Postface d’Emmanuel Brenner qui raconte l’histoire du livre et l’évolution de la situation à l’aide de matériaux collectés entre 2004 et 2015. Nouvelle édition du livre qui a fait basculer le débat sur l’école. Les Territoires perdus de la République, né du constat alarmé de professeurs de l’enseignement secondaire de la région parisienne, a paru pour la première fois en 2002. Les auteurs des attaques terroristes de 2015 étaient collégiens dans des établissements peu ou prou semblables à ceux évoqués dans le livre, au sein desquels il se produisait des « incidents » à caractère antisémite, raciste et sexiste. La violence perpétrée en milieu scolaire donnait à voir la décrépitude déjà grande des valeurs qui fondent la République et assurent l’intégration des nouveaux citoyens et de leurs enfants. L’offensive islamiste se renforçait de la démission et du déni auquel notre livre se heurta encore. Aujourd’hui, il nous faut bien ouvrir tout à fait les yeux. Ce n’est plus seulement l’institution scolaire qui est confrontée à l’antisémitisme, à l’islamisme et au sexisme, c’est toute la société : à force de déni, le mal s’est étendu bien au-delà des banlieues et de leurs écoles. Avec les contributions de Élisabeth Amblard, Rachel Ahrweiler, Arlette Corvarola, Emmanuel Brenner, Sophie Ferhadjian, Élise Jacquard, Valérie Kobrin, Gabrielle Lacoudre, Barbara Lefebvre, Iannis Roder, Élisabeth Sternell, Marie Zeitgeber et d’autres professeurs de collège et de lycée. » […]
En Camargue arlésienne et gardoise, la moisson du riz s’achève…
création, 1.10.21
Brèves infos rassemblées par des laïques
Crèches de Noël : Laurent Wauquiez gagne en appel, [contre la Ligue des Droits de l’Homme] 6.9.21 LePoint.fr, Marc Leplongeon. « La justice lyonnaise ne voit aucun acte de prosélytisme ou de revendication religieuse dans l’exposition sur l’art des santonniers organisée à l’hôtel de région en 2017. Les crèches de Noël dans les lieux publics sont en décembre ce que la rentrée scolaire est en septembre : un joli marronnier journalistique qui promet toujours une belle polémique. Chaque année, les élus locaux de droite s’offrent un débat dans la presse locale et régionale : ont-ils le droit d’installer une crèche de Noël dans les hôtels de ville, malgré le devoir de neutralité qui s’impose à eux ? En décembre 2017, le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes donne ainsi son autorisation pour une exposition sur l’art populaire des santonniers (le santon est une figurine en argile peinte représentant des personnages de la Nativité). Plusieurs œuvres représentent des crèches et sont installées dans les locaux du conseil régional […]«
Les crèches de Wauquiez validées par la justice, 23.11.18, lepoint.fr, Catherine Lagrange. « En exposant non plus une crèche de Noël, mais une collection de crèches, la région Auvergne-Rhône-Alpes contourne la question de la laïcité. […]«
Laurent Wauquiez : « Identitaire est devenu la pire insulte ». Rupture. Éloge des racines, laïcité offensive, Europe rétrécie… Tugdual Denis & Laureline Dupont, LePoint.fr, 19.10.17. « Le candidat à la tête des Républicains détaille sa « vraie droite » […]«
Laïcité : des santons très politisés ? En Auvergne-Rhône-Alpes comme en PACA, les politiques s’écharpent à nouveau sur les crèches de Noël. Défense de la tradition ou manœuvre politique ? Jérôme Cordelier, lepoint.fr 15.12.16. « Et c’est reparti ! Voici revenue la désormais traditionnelle polémique sur les crèches à l’approche de Noël. En installant l’une d’entre elles – sur 14 mètres carrés et avec 158 santons – dans le hall du conseil régional Auvergne-Rhône Alpes, le président (LR) de l’institution Laurent Wauquiez échauffe les esprits. « Laurent Wauquiez provoque et entretient une confusion volontaire, pour réaffirmer un message à la droite de la droite en jouant sur la France catholique éternelle », s’exclame ainsi Jean-François Debat, président du groupe PS à la région et maire de Bourg-en-Bresse. […]«
À l’origine du drapeau pirate, 4 mn, 30.8.21, FranceCulture.fr, Maxime Marie. « Vous ne verrez plus jamais le fameux drapeau pirate du même œil.
Ce drapeau, pour vous, c’est le symbole des pirates ? Et pourtant, il n’a été utilisé par ces derniers que durant une vingtaine d’années… À la fin du XVIIe, la répression contre les pirates est violente. Pour l’éviter, ces marins n’affichent tout simplement pas de drapeaux à leur navire et préfèrent tendre de faux pavillons pour semer le trouble. Le drapeau noir à tête de mort était en fait utilisé dans un seul but : provoquer une peur panique chez l’équipage abordé et le pousser à abandonner le navire sans endommager le butin. Il est décrit pour la première fois en 1700, par le capitaine du navire anglais HMS Poole, après avoir été attaqué au large de Santiago par le pirate français Emmanuel Wynne. Il décrit un pavillon noir avec tête de mort et des tibias croisés. […]«
Patrimoine & Traditions Républicaines vivaces à Chateaurenard (13)…
Discours de haine et désinformation sur les réseaux : les ressorts de la contestation. 3.9.21 FranceCulture.fr, émission Réseaux sociaux, Baptiste Muckensturm. « Sur Twitch ou sur Reddit, des groupes d’utilisateurs haussent le ton contre les abus dont ils sont victimes. En même temps, les réseaux sociaux se voient contraints de changer muscler leurs réponses […]«
Le financement des fake news : « Un Far West auquel participent des marques et des institutions publiques », 29.8.21, FranceCulture.fr, Benoît Grossin. « Entretien. Un documentaire sur le business de la désinformation signé Aude Favre et Sylvain Louvet pointe le rôle des plateformes de financement participatif et du marché publicitaire sur Internet. Entreprises, institutions et associations contribuent sans toujours le savoir à la croissance des infox en ligne […]«
création, 1.9.21
Brèves infos rassemblées par des laïques
Les noms de rues : le casse-tête des mémoires, FranceCulture.fr 30 & 31.7.21 (rediff. du 26.2.21). Après le reportage un débat avec une intervention historique, républicaine, sociale, de l’historien Jean-Marie Guillon (membre de l’association 1851.fr, pour la mémoire des résistances républicaines) et une élue plus politique communautariste qu’historienne. « Dans un contexte de polémiques mémorielles, l’Élysée souhaite mettre à jour le nom des rues. Cette politique s’appuie sur le travail de l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre autour des tirailleurs africains et un recueil d’environ 315 noms remis au chef de l’État […] Ce « Grand Reportage » est suivi d’un débat sur le thème des mémoires : Pourquoi l’État cherche-t-il à gouverner les mémoires ? Quelle place les collectivités locales, qui ont seules la compétence de renommer les rues, vont faire à cette exhortation présidentielle ? Que nous apprennent les épisodes du passé sur la symbolique de la toponymie, comme par exemple la Libération ? Comment ce débat peut-il rebondir cette année dans l’actualité ? […] [Avec :] Jean-Marie Guillon en duplex depuis Bandol dans le Var. Il est Professeur des universités émérite à l’université d’Aix-Marseille, spécialiste de la construction de la mémoire collective au XXe ; Aïssata Seck dans notre studio. Elle est la présidente de l’association pour la mémoire et l’histoire des tirailleurs sénégalais et a très largement contribué à la naturalisation de 28 tirailleurs sénégalais à la fin du mandat de François Hollande. Elle est aussi conseillère municipale (Génération.s) à Bondy (93) et responsable du programme citoyenneté, jeunesse et territoires pour la Fondation pour la mémoire de l’esclavage […]«
Les jeunes profs favorables à une « laïcité ouverte, libérale et inclusive », Marc André 7.7.21 Ouest-France.fr. Une étude de la Fondation Jean Jaurès pointe un fossé générationnel entre les jeunes professeurs, séduits par une conception anglo-saxonne de la laïcité, favorables au port du voile ou au burkini, et leurs aînés. Quelle place les enseignants accordent-ils aux religions à l’école ? Vaste sujet, objet de bien des passions depuis la loi du 9 décembre 1905 relative à la séparation des Églises et de l’État. La question est revenue sous le feu des projecteurs après l’assassinat du professeur d’histoire-géographie Samuel Paty, le 16 octobre 2020 à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines), après qu’il avait montré en classe des caricatures de Mahomet. Dans un rapport rendu au printemps, l’inspecteur général de l’Éducation nationale Jean-Pierre Obin faisait état d’une confusion intellectuelle chez les élèves et les enseignants quant à leur définition de la laïcité et des valeurs républicaines. Ce qui a conduit le ministre Jean-Michel Blanquer à lancer un vaste plan de formation sur quatre ans à la rentrée 2021. Au grand dam de l’association Vigie de la laïcité qui a dénoncé par avance « une mise sous tutelle idéologique du terme [laïcité], totalement opposée à l’idéal laïque » . […]«
création, 1.8.21