En premier, deux sénateurs déposent des résolutions sur le bureau du Sénat pour que le 9 décembre devienne Journée Nationale de la Laïcité, en 2010 et 2011.
Piscines de Grenoble : Savoir de Quoi on Parle, Charles Arambourou [juriste, responsable laïcité à l’UFAL.org], Mezetulle.fr 7.6.22. « Provocation politicienne en période électorale, nouvel épisode de l’apartheid imposé aux femmes musulmanes par les intégristes, ou simple histoire de chiffons sans rapport avec la religion ? L’affaire des « burkinis » dans les piscines de Grenoble donne lieu à des torrents d’encre et d’octets numériques où la raison trouve rarement son compte. D’où un certain nombre d’approximations, voire de simples énormités, proférées par les camps en présence. Or le maire de Grenoble n’a pas « autorisé le burkini dans les piscines de la ville » – il est plus malin ! Le Tribunal administratif n’a pas davantage « interdit le burkini ». Quant à la laïcité, elle ne se limite pas à la loi de 1905, et il n’est pas vrai que dans l’espace public, on puisse « porter la tenue que l’on veut ». Le plus simple n’est-il pas de remonter aux sources et de prendre la peine de lire les règlements et la première décision de justice en cause ? Sans oublier que le Conseil d’État doit se prononcer en appel. […]«
Opération Politique. Faut-il autoriser le port du burkini dans les piscines ?16.5.22 FranceCulture.fr « Le maire de Grenoble, Eric Piolle, a décidé de mettre cette question, aujourd’hui, à l’ordre du jour du Conseil municipal. Une décision qui aspire à rencontrer un écho médiatique national. […]Une opération à visée politique[…] ette opération Burkini constitue donc, vraisemblablement, le troisième étage d’une fusée qui vise à mettre Eric Piolle en orbite et à le faire exister politiquement […]« .
Dérives communautaristes à Grenoble, 13.5.22 UFAL.org,Collectif Laïque National, « Le maire de Grenoble, après avoir soutenu publiquement un collectif de militantes proches de l’islam politique prônant le port du hidjab dans le sport, souhaite faire approuver, le 16 mai prochain, un projet de modification du règlement des piscines municipales pour y permettre le port du « burkini ». Le maire de Grenoble, inversant les principes, prétend garantir la liberté de quelques militantes communautaristes. C’est une véritable insulte pour toutes celles qui se sont battues depuis des années pour l’égalité, parfois au péril de leur vie, et à celles et ceux qui continuent de le faire. Expression sexiste et patriarcale qui cautionne des injonctions pseudo religieuses, ce projet est contraire à la volonté d’émancipation prônée par la République. Il vise à dicter aux femmes comment se vêtir. Il entretient l’un des ressorts d’une idéologie imposée par des hommes aux femmes, et à elles seules : dissimuler leur corps, assimilé dans sa totalité à un objet sexuel. Triste similitude avec, entre autres, l’Afghanistan qui interdit aux filles la fréquentation de l’école et oblige à nouveau aujourd’hui les femmes à porter la burqa. Les associations membres du Collectif Laïque National dénoncent et s’opposent à ce projet et resteront vigilantes à toutes dérives communautaristes. Elles rappellent que tout traitement différencié des personnes fondé sur des motifs liés au genre et à la religion constitue une discrimination, délit puni par la loi. […]«
Relativisme Culturel. « Le relativisme culturel est la thèse selon laquelle le sens et la valeur des croyances et des comportements humains n’ont pas de références absolues qui seraient transcendantes et ne devraient être comprises et analysées que du point de vue de leur culture. Bien qu’il n’ait jamais lui-même employé le terme, Franz Boas, et à travers lui l’école américaine d’anthropologie au tout début du XXe siècle, fut un ardent défenseur d’une forme forte de relativisme culturel, s’opposant en cela aux tenants de l’universalisme. […] » Wikipédia, vu 8.6.22.
Cannabis thérapeutique : vers une autorisation de mise sur le marché ? 6.5.22 Harmonie Mutuelle / essentiel-sante-magazine.fr– Le cannabis à usage médical est actuellement évalué dans le cadre d’une expérimentation nationale. Au terme de cet essai, une généralisation du cannabis thérapeutique pourrait être envisagée. Toutefois, cette médecine complémentaire interviendrait seulement dans les situations où les patients n’ont pas d’autres recours thérapeutiques. […] Dans le cadre de cette expérimentation, les professionnels de santé bénéficient d’une formation afin de prescrire ou de délivrer du cannabis thérapeutique. La composition de ce dernier varie en fonction des différentes substances actives : le THC (tétrahydrocannabinol) ou le CBD (cannabidiol). Cette molécule possède des propriétés relaxantes, tandis que le THC est un psychotrope qui peut affecter le fonctionnement du cerveau et entraîner une addiction. Le cannabis prescrit peut être majoritairement composé de CBD ou de THC ou encore former un mélange de ces substances. L’absorption se fait par voie orale ou sous forme de fleurs séchées à inhaler. […] » – Dossier Chanvre.
Citoyenneté & Laïcité, Mazan. Au travers des rappels historiques et juridiques, Jean-Pierre Fraysse, président de la Société d’Action et d’Etudes Laïques (SAEL) présentera ces notions [au Cercle Républicain (84) Mazan Facebook]. S’il n’existe aucune définition de ces principes, on doit pour les comprendre examiner leur histoire, en préciser le contenu par un rappel notamment d’un certain nombre de règles de droit. Conférence, samedi 15.1.22 – 16 h 30, salle de l’Allée, Mazan (84) – site – Coordonnées de la SAEL 84 sur « Outils Laiq« .
Sur le sondage « Les lycéens, le droit à la critique des religions et les formes de contestations de la laïcité à l’école ». Réponses de l’IFOP aux fausses informations diffusées par la Vigie de la laïcité. 13.12.21 IFOP.com – « Dans un communiqué publié le 8 décembre, la Vigie de la laïcité s’est attelée à un travail de désinformation envers un sondage Ifop / Licra / DDV afin d’inciter les médias « à ne pas relayer tel quel » celui-ci, au nom du fait qu’il contiendrait de nombreux biais. Or, si l’IFOP est ouvert au dialogue et aux critiques sur ses enquêtes, notre institut ne peut pas laisser passer des allégations mensongères dénotant aussi bien une incompétence sur le plan technique qu’une malhonnêteté sur le plan éthique. Vous trouverez ci-dessous la réponse de l’IFOP point par point à des allégations qui ne reposent sur aucun fondement méthodologique. […]«
La science dans les contextes islamiques. Questions d’islam par Ghaleb Bencheikh, 16.1.22 FranceCulture.fr – La physicienne Faouzia Charfi [Université de Tunis] revisite l’histoire des sciences et leur essor dans les contextes islamiques avec toute l’effervescence de la traduction ainsi que la translatio studiorum. La vision coranique du monde est-elle conciliable avec les connaissances scientifiques actuelles ? Va-t-elle de pair avec les ressources inventives de la technoscience ? Ou bien sommes-nous dans deux registres épistémologiques orthogonaux ? Comment guérir de la pathologie du concordisme d’une part et dirimer les lectures littéralistes chez les fondamentalistes ? C’est ce que la physicienne Faouzia Charfi explique en appelant à en finir avec les compromis lorsqu’il s’agit de défendre la science moderne. Il y va de l’autonomisation du champ du savoir et de la connaissance par rapport à celui de la révélation et de la croyance. Pour en parler : Faouzia Charfi, essayiste, professeure de physique à la Faculté des sciences de Tunis (FST), membre de l’Académie Tunisienne des Sciences, des Lettres et des Arts Beit al Hikma, membre du Comité de création puis du Comité Scientifique de la Cité des Sciences de Tunis, membre fondateur de la Société tunisienne de physique. Elle est l’auteure notamment de « L’Islam et la science. En finir avec les compromis », éd. Odile Jacob, 2021; « La science en pays d’Islam », éd. Bayard, 2020 ; « Sacrées questions… Pour un islam d’aujourd’hui », éd. O. Jacob, Paris, 2017 ; « La Science voilée », éd. O. Jacob, Paris, 2013 […]«
Laurent Bouvet, le soldat de la Gauche Républicaine, est mort. Défenseur pugnace de la laïcité, Laurent Bouvet est décédé à Paris ce samedi 18 déc. La gauche perd l’un de ses aiguillons. Clément Pétreault 18.12.21 LePoint.fr – Avec la disparition de Laurent Bouvet, annoncée par sa femme sur Facebook, c’est une partie de la mauvaise conscience de la gauche qui s’évapore. Politologue, fondateur du Printemps républicain et auteur de nombreux ouvrages sur l’identité et l’insécurité culturelle, Laurent Bouvet s’est éteint à Paris ce samedi à l’âge de 52 ans. Bien qu’atteint par une maladie dégénérative, il trouvait encore les forces de publier en juillet 2020 Le Péril identitaire (Éditions de l’Observatoire), un essai testament, dans lequel il tentait, une dernière fois, de mettre la gauche en garde contre la lente dérive identitaire dont elle fait l’objet depuis plusieurs années. « Si l’on désire résister à la pression de ce monde individualiste devenu identitaire, il faut avoir des principes solides auxquels on ne déroge pas. En France, ça s’appelle la République. Le républicanisme à la française constitue une proposition politique capable de limiter les effets délétères de l’individualisme libéral et les inégalités sociales », répétait-il pour expliquer l’ancrage à gauche de son engagement républicain. […]«
Film « Les 3 Vies du Chevalier [de la Barre] » (synopsis) Azoth Studio : « au fil de son récit, le réalisateur éclaire l’évolution de la liberté de penser en France depuis l’Ancien Régime jusqu’à aujourd’hui en suivant les rebondissements d’une affaire emblématique : l’Affaire n°23 dite « La Barre » : un procès pour blasphème instruit, en France au siècle des Lumières, et qui continue de défrayer la chronique depuis plus de 250 ans. Une histoire racontée au fil du procès du Chevalier de la Barre et de la lutte de ses défenseurs pour sa réhabilitation. Un documentaire de création éclairé par de nombreux chercheurs dans une fresque où se mêlent sculpture et politique au rythme d’une musique originale interprétée à l’image par l’Orchestre de Picardie au Théâtre Impérial de Compiègne. Le film a reçu le soutien du Conseil Régional Picardie, de l’Institut Voltaire de la Ville de Genève et est placé sous le haut patronage de la Commission Française pour l’UNESCO. Il a également reçu le « Prix de l’Initiative Laïque » aux Rendez-vous de l’Histoire de Blois décerné conjointement par la MAIF, la MGEN et la CASDEN. Le film a clôturé en 2016 le colloque international « Islam & Laïcité » à l’Alliance Française de Singapour organisé par Sciences Po. le CNRS et la National University of Singapore sous les auspices du Ministère des Affaires Étrangères. […]«
État d’urgence sanitaire : concilier droit, santé et liberté. 3.1.22 FranceCulture.fr L’Invité(e) des Matins, Guillaume Erner, Dominique Rousseau, prof Droit Constitutionnel, et Monique Canto-Sperber, philosophe [PUF]. « Presque deux ans après le début de l’épidémie, les Français se sont-ils habitués à la perte de certaines de leurs libertés au nom de la sécurité sanitaire ? Dévoilé par le gouvernement lundi dernier, et déjà validé par le Conseil d’État, le nouveau projet de loi sanitaire est aujourd’hui soumis au vote de l’Assemblée nationale. Parmi les mesures importantes – et polémiques – il est question du passe vaccinal, qui restreint l’accès à la majorité des lieux publics aux seules personnes vaccinées. Si l’objectif est avant tout de faire pression sur les personnes non-vaccinées, cette mesure est aussi dénoncée comme liberticide. Alors que l’État d’urgence sanitaire se prolonge et que ses mesures exceptionnelles tendent à s’ancrer dans la durée, un nouveau projet de loi restreignant les libertés est-il encore légitime ? […]«
« Nous ne sommes pas en dictature. Je constate pourtant qu’il y a un affaissement des libertés et de l’exercice des libertés publiques comme individuelles. On nous oblige à porter le masque à l’extérieur, on ne peut pas sortir librement sans masque. Ce sont des recommandations de bon sens mais dans un État de droit, ces règles doivent être délibérées et discutées. Dominique Rousseau
L’État d’urgence est sensé concilié État de droit et les libertés afin de préserver l’ordre public.C’est un paradoxe parce que l’ordre public est aussi normatif, il inclut le respect de la liberté, or l’État d’urgence sur certains points s’en affranchit.Monique Canto-Sperberx
8 mars 2021, appel de groupements et d’individualités arlésiennes, pour la « Journée Internationale de Lutte pour les Droits des Femmes«
www.laicite.fr/laiq-info 4.19
« La parole est notre liberté », le 8 mars 2021, à 17 h, Arles, place de la République
Journée Internationale de Lutte pour les Droits des Femmes
Torturées, violées, tuées, bâillonnées, nous le sommes encore.De la petite fille victime d’inceste, excisée ou tuée à la naissance parce que née fille, de la jeune fille mariée de force à l’esclave sexuelle, de la femme violée à celle assassinée par son ex ou son conjoint, de ces inégalités sociales inadmissibles à ces femmes qui n’ont toujours pas accès au savoir, aux études.
La liste est longue.
Hier, en 1791, Olympe de Gouges écrit la « Déclaration des Droits de la Femme et de la Citoyenne » avec ce slogan « Femmes réveillez-vous ! ». Hier encore, en 1967, la contraception est autorisée avec le slogan du MLF « Notre corps nous appartient ». Quand en 1972, le procès de Bobigny grâce à Gisèle Halimi a un rôle déterminant dans l’obtention du droit à l’avortement, en 1975, la loi Simone Veil légalise enfin l’interruption volontaire de la grossesse. Quand en 1978, Gisèle Halimi porte en justice pour la première fois un procès sur le viol, en 1980, une nouvelle loi définit clairement l’attentat à la pudeur et le viol et reconnaît celui-ci comme crime.
Aujourd’hui, c’est le Mouvement #MeToo et les femmes prennent la parole. La prise de conscience s’accélère, les tabous tombent, les mentalités changent. Les victoires sont nombreuses. L’Argentine obtient enfin le droit à l’avortement. Le terme de Féminicide, son sens, est enfin reconnu et noté dans le Larousse.
Mais les chiffres restent encore trop évocateurs de domination patriarcale dans tous les domaines, emprisonnant les femmes dans des schémas humiliants, restreints, violents.Aujourd’hui, 74 % des viols sont classés sans suite et un.e Français.e sur dix est ou a été victime d’inceste. La Pologne perd le droit à l’avortement, elle qui l’avait obtenu en 1956 avec la gratuité des actes.
Nous restons présentes, fortes, exigeantes, gardiennes et combattantes de notre place dans le monde pour l’égalité et contre toute forme de violence.
Nous exigeons des actes concrets : l‘entière Parité dans tous les domaines, l’entière Egalité des salaires dans tous les corps de métiers, des mesures concrètes et efficaces pour le suivi dès la première plainte avec davantage de créations de places d’hébergement pour les femmes victimes de violence, avec des moyens pérennes et suffisants pour que le 3919 fonctionne 24 h/24, avec la création d’espaces d’écoute dans des lieux adaptés, avec de véritables moyens aux associations pour les Droits des femmes, avec plus de centres d’orthogénie afin que les IVG puissent se faire dans les délais.
Femmes, Hommes, réveillons-nous !
Nous vous donnons rendez-vous à Arles le 8 mars à 17 h – place de la République
8 mars 2021 Journée Internationale des Droits des Femmes Arles
Signataires : LDH Section Arles, Femmes Solidaires, Osez le féminisme ! CIDFF Pays d’Arles, UFAL LAÏQUES, Paroles Indigo, Sylvette Carlevan, Claire Antognazza, Claudine Pellé, Natalie Victor Retali, Libre Pensée G. Babeuf, Union Locale CGT Arles, FSU, Inter-Urgences Arles
France. Communautarisme. Encore Plus de Séparation des Morts. « […] la mesure 18 prévoit de « développer la création des carrés confessionnels dans les cimetières », poursuite des entorses aux lois laïques sur les cimetières civils et de Séparation des Églises et de l’Etat (1905). Anti-républicain, le communautarisme institutionnel sépare les vivants, et les morts. [11.2.14, « Politique d’Egalité Républicaine et d’Intégration, Feuille de Route du Gouvernement] » 26.2.14, info Gouvernement.fr & FNLP.fr : « […] Mesure 18 : des sépultures adaptées aux différentes confessions. De nombreux immigrés ou descendants d’immigrés finissent leur vie sur le territoire français, sans pouvoir obtenir un lieu de sépulture conforme aux règles du culte qu’ils ont pratiqué. En application du principe de liberté de conscience et de respect des croyances religieuses, il conviendra d’apporter des réponses pour des sépultures adaptées aux différentes confessions des personnes présentes sur les territoires, par le développement des « carrés confessionnels » dans les cimetières. […] » 20 & 31.3.14.
04 Manosque. 11.3.14. Débat sur l’Urbanisme de Manosque Citoyenne, intervention de l’UFAL sur la gare routière et les transports publics
Belgique. « Pourquoi la Scientologie est-elle régulièrement mise en cause ? » 13.3.14, RTBF.be [Radio-Télé Belge d’Etat], « La décision devait tomber ce jeudi en chambre du conseil : l’Eglise de scientologie sera-t-elle ou non renvoyée en correctionnelle ? Elle a été reportée. Le parquet fédéral veut la poursuivre comme organisation criminelle. Mais, indépendamment de la procédure belge en cours, d’où viennent ces accusations régulières de dérives sectaires ? Sur quoi sont-elles fondées ? Et que représente la scientologie aujourd’hui, en Belgique ? […] »
04. Une histoire banale, film, fiction sur le viol, Manosque 10.3.14 et Château-Arnoux. Audrey Estrougo, réalisatrice ; Marie Denarnaud, Nathalie ; Marie-Sohna Condé, Sohna (belle-soeur). Oumar Diaw… Production, Six Onze Films. Distributeur France (Sortie en salle), Damned Distribution. Production, Les Canards Sauvages [ voir aussi l’annonce Amnesty International Manosque].
13. Port-de-bouc, « Journées des Droits des Femmes« … http://www.portdebouc.fr/vie-quotidienne/sortir-et-se-cultiver/journees-des-droits-des-femmes.html
04. Qu’en penser ? Dans le quotidien la Provence (04), la candidate du FN aux élections municipales à Digne déclare qu’elle est membre de Femmes Solidaires de Digne ! 3.14
Procès du Viol, Aix (13) en 1978, avec Gisèle Halimi, documentaire, chroniqué par Télérama, http://television.telerama.fr/tele/programmes-tv/le-proces-du-viol,74734726.php (vu sur FB, de Nath’)
« 9 mars, des Femmes Manifestent Nues à Paris contre l’Oppression » dont Amina la Tunisienne : « il y a des filles de Tunisie, d’Iran, d’Egypte… contre la lapidation, le voile, la burqa, la sharia » (AFP) et qui crient « Liberté, Egalité, Laïcité« … « mettre la religion de côté… je fais ce que je veux de mon corps »… « Sept femmes, qui se présentent comme des militantes du monde arabe et musulman, ont manifesté nues samedi 8 mars devant la pyramide du Louvre à Paris contre « l’oppression », à l’occasion de la journée internationale des droits des femmes. Durée, 48 secondes« [info sur FB, JM Bouguereau] Caroline Fourest indique sur FB, 9.3.13, « action d’hier menée par Amina Sboui (Tunisie), Aliaa Elmahdy et Maryam Namazie (Iran) pour libérer le corps des femmes de l’emprise religieuse«
04. Digne. La Méditerranée des Femmes, 18e édition. Projection du film « Les Clients » de Hubert Dubois[8 mars ’14, 18 h, CinéToiles, Digne], suivi d’un débat sur la Prostitution, avec : le réalisateur HD, Claudine Legardinier, journaliste spécialisée ; Gérard Biard, rédac’chef de CharlieHebdo.fr, du collectifZeroMacho.eu ; débat animé par Odile Frison, journaliste à FréquenceMistral Digne : « Ce film démontre que ne naît pas client, on le devient. Six clients occasionnels ou réguliers de la prostitution témoignent. Le film met en évidence le décalage entre les motivations des clients recueillies dans l’intimité et leur comportement face aux prostituées. »