Territoires perdus ou territoires vivants de la République ? 30.9.18 FranceCulture.fr, émission Être et savoir, Louise Tourret, Enseigner dans les quartiers populaires. Peut-on encore parler de « territoires perdus de la République » ? Perdus pour l’éducation, pour la France. Ces écoles, collèges, lycées ne seraient-ils pas au contraire des espaces, certes en tension, mais plus vivants encore que tout autre, tant la mission de l’école y est plus cruciale qu’ailleurs ? Et quelle est cette mission ? Deux enseignants, Iannis Roder, qui avait participé à l’ouvrage Les Territoires perdus de la République (éd. Mille et une nuits 2004) et Marguerite Graff qui a participé à l’ouvrage collectif « Territoires vivants de la République » (éd. La Découverte 2018), nous racontent comment ils pensent et conjuguent transmission des valeurs et des savoirs dans des banlieues populaires, avec des élèves issus de ce que l’on appelle aujourd’hui la diversité – ou encore ceux que le sociologue Mathieu Ichou, également avec nous cet après-midi, nomme simplement des enfants d’immigrés. […]«
Profs en Territoires Perdus de la République, 13.10.21, Télé LCP.fr « En 2002 paraissait Les Territoires perdus de la République, un ouvrage collectif dans lequel des professeurs de collègues et lycées de quartiers dits sensibles alertaient l’institution scolaire et l’opinion publique sur le climat de violence et d’intolérance qui s’installait dans ces établissements. La sortie du livre fut accompagnée d’un silence gêné ; un déni qui, pour ses auteurs, augurait des jours difficiles. Les attentats de janvier 2015 ont remis au centre du débat la question de la transmission des valeurs de la République. Plusieurs professeurs exerçant dans des collèges et lycées de la région parisienne livrent leur témoignage. […]«
Les territoires perdus de la République, 14.4.15, éd. Fayard, coll. Pluriel & 1001 Nuits. Postface d’Emmanuel Brenner qui raconte l’histoire du livre et l’évolution de la situation à l’aide de matériaux collectés entre 2004 et 2015. Nouvelle édition du livre qui a fait basculer le débat sur l’école. Les Territoires perdus de la République, né du constat alarmé de professeurs de l’enseignement secondaire de la région parisienne, a paru pour la première fois en 2002. Les auteurs des attaques terroristes de 2015 étaient collégiens dans des établissements peu ou prou semblables à ceux évoqués dans le livre, au sein desquels il se produisait des « incidents » à caractère antisémite, raciste et sexiste. […] » – Wikipédia.
Crèches de Noël : Laurent Wauquiez gagne en appel, 6.9.21 LePoint.fr, Marc Leplongeon. La justice lyonnaise ne voit aucun acte de prosélytisme ou de revendication religieuse dans l’exposition sur l’art des santonniers organisée à l’hôtel de région en 2017. […]. La Ligue française pour la défense des droits de l’homme et du citoyen décide d’attaquer en justice la décision de Laurent Wauquiez. L’article 28 de la loi de 1905 sur la séparation des Églises et de l’État est, en effet, clair : « Il est interdit, à l’avenir, d’élever ou d’apposer aucun signe ou emblème religieux sur les monuments publics. » L’objectif est limpide : il s’agit d’empêcher les personnalités publiques de manifester la reconnaissance d’un culte ou de marquer une préférence religieuse. […] Il existe néanmoins une exception, dans laquelle Laurent Wauquiez semble s’être engouffré : la possibilité d’installer des crèches dans le cadre d’une manifestation culturelle, une exposition, par exemple. […]«
Humanité & Poésie
«J’atteste, contre la barbarie».« J’atteste qu’il n’y a d’être humain que celui dont le cœur tremble d’amour pour tous ses frères en humanité. Celui qui désire ardemment plus pour eux que pour lui-même liberté, paix, dignité. Celui qui considère que la vie est encore plus sacrée que ses croyances et ses divinités. J’atteste qu’il n’y a d’être humain que Celui qui combat sans relâche la Haine en lui et autour de lui. Celui qui, dès qu’il ouvre les yeux le matin, se pose la question : que vais-je faire aujourd’hui pour ne pas perdre ma qualité et ma fierté d’être homme ? » Abdellatif Laâbi – «J’atteste, contre la barbarie», album illustré par Zaü, éd. RueDuMonde.fr (à commander chez votre libraire)
Social
L’âge des algorithmes : comment l’activisme remplace le militantisme du XXe siècle, 31.10.21 FranceCulture.fr, Signes des temps, Marc Weitzmann. « Boosté par les réseaux sociaux, un nouvel activisme remplace-t-il le militantisme encarté d’autrefois ? Le scandale des Facebook papers extrêmement documenté grâce aux fuites organisée par l’ingénieure Frances Haughen ancienne employée permet de revenir sur les effets effets non seulement de Facebook des réseaux sociaux sur le cours du monde depuis dix ans au moins. L’espoir que certains ont pu mettre sur l’activisme des blogueurs tunisiens ou syriens lors des printemps arabes s’est terni. On commence seulement à mesurer les effets des algorithmes dans le déclenchement d’émeutes violentes en Ethiopie, en Inde, au Pakistan, dans l’élection de Donald Trump bien sûr comme dans l’attaque contre le Capitole le 6 janvier dernier, mais aussi plus généralement dans la montée des populismes à travers le monde, et, en France […] Intervenants : Fabrice Epelboin, entrepreneur, spécialiste des médias sociaux, enseignant à Sciences Po ; Eric Sadin, philosophe, écrivain ; Rokhaya Diallo, éditorialiste, réalisatrice [controversée]. » […]
Patrimoine
Le silo de céréales en cours de destruction, encore un des rares et vieux (1936) monuments de Gap (05) qui disparait. Voir le travail de l’historienne bas-alpine Hélène Vésian, « Les silos à grains en France dans les années 1930« , 2013
Gap laisse détruire le peu de patrimoine encore existant. La mairie propriétaire de la maison de Georges de Manteyer (plus ancienne que la cathédrale qui était à côté) l’a laissé s’écrouler. Un silo peut très bien s’aménager, tel le silo de céréales de Marseille Joliette devenu une salle de concert. Et, le silo de Riez, plus modeste, est répertorié par le Ministère de la Culture.
L’âge des algorithmes : comment l’activisme remplace le militantisme du XXe siècle, 31.10.21 FranceCulture.fr, Signes des temps, Marc Weitzmann. « Boosté par les réseaux sociaux, un nouvel activisme remplace-t-il le militantisme encarté d’autrefois ? Le scandale des Facebook papers extrêmement documenté grâce aux fuites organisée par l’ingénieure Frances Haughen ancienne employée permet de revenir sur les effets non seulement de Facebook des réseaux sociaux sur le cours du monde depuis dix ans au moins. L’espoir que certains ont pu mettre sur l’activisme des blogueurs tunisiens ou syriens lors des printemps arabes s’est terni. On commence seulement à mesurer les effets des algorithmes dans le déclenchement d’émeutes violentes en Ethiopie, en Inde, au Pakistan, dans l’élection de Donald Trump bien sûr comme dans l’attaque contre le Capitole le 6 janvier dernier, mais aussi plus généralement dans la montée des populismes à travers le monde, et, en France […]. Intervenants : Fabrice Epelboin, entrepreneur, spécialiste des médias sociaux, enseignant à Sciences Po ; Eric Sadin, philosophe, écrivain ; Rokhaya Diallo, éditorialiste, réalisatrice [controversée]. […]«
Ecole & République Laïque
Documentaire. Profs en territoires perdus de la République, 13.10.21 LCP.fr« En 2002 paraissait Les Territoires perdus de la République [éd. Fayard coll. Pluriel], un ouvrage collectif dans lequel des professeurs de collègues et lycées de quartiers dits sensibles alertaient l’institution scolaire et l’opinion publique sur le climat de violence et d’intolérance qui s’installait dans ces établissements. La sortie du livre fut accompagnée d’un silence gêné ; un déni qui, pour ses auteurs, augurait des jours difficiles. Les attentats de janvier 2015 ont remis au centre du débat la question de la transmission des valeurs de la République. Plusieurs professeurs exerçant dans des collèges et lycées de la région parisienne livrent leur témoignage. » […]
Les Territoires perdus de la République – antisémitisme, racisme et sexisme en milieu scolaireWikipédia : « est un ouvrage collectif, éd. Éditions Mille et une nuits 2002. Sous la direction de Georges Bensoussan sous le pseudonyme d’Emmanuel Brenner, il traite, comme l’indique son sous-titre, de l’antisémitisme, du racisme et du sexisme en milieu scolaire et plus particulièrement parmi les jeunes d’origine maghrébine. Une nouvelle édition, de poche [coll. Pluriel, éd. Fayard-Hachette 4.15, 416 pp. 9 €] ». Wikipédia, vu 26.10.21
Les territoires perdus de la République, Emmanuel Brenner/Georges Bensoussan, coll. Pluriel, éd. Fayard-Hachette 4.15, ISBN 978-2-81850482-6,Préface d’Alain Finkielkraut. Postface d’Emmanuel Brenner qui raconte l’histoire du livre et l’évolution de la situation à l’aide de matériaux collectés entre 2004 et 2015. Nouvelle édition du livre qui a fait basculer le débat sur l’école. Les Territoires perdus de la République, né du constat alarmé de professeurs de l’enseignement secondaire de la région parisienne, a paru pour la première fois en 2002. Les auteurs des attaques terroristes de 2015 étaient collégiens dans des établissements peu ou prou semblables à ceux évoqués dans le livre, au sein desquels il se produisait des « incidents » à caractère antisémite, raciste et sexiste. La violence perpétrée en milieu scolaire donnait à voir la décrépitude déjà grande des valeurs qui fondent la République et assurent l’intégration des nouveaux citoyens et de leurs enfants. L’offensive islamiste se renforçait de la démission et du déni auquel notre livre se heurta encore. Aujourd’hui, il nous faut bien ouvrir tout à fait les yeux. Ce n’est plus seulement l’institution scolaire qui est confrontée à l’antisémitisme, à l’islamisme et au sexisme, c’est toute la société : à force de déni, le mal s’est étendu bien au-delà des banlieues et de leurs écoles. Avec les contributions de Élisabeth Amblard, Rachel Ahrweiler, Arlette Corvarola, Emmanuel Brenner, Sophie Ferhadjian, Élise Jacquard, Valérie Kobrin, Gabrielle Lacoudre, Barbara Lefebvre, Iannis Roder, Élisabeth Sternell, Marie Zeitgeber et d’autres professeurs de collège et de lycée. » […]
En Camargue arlésienne et gardoise, la moisson du riz s’achève…
Crèches de Noël : Laurent Wauquiez gagne en appel, [contre la Ligue des Droits de l’Homme] 6.9.21 LePoint.fr, Marc Leplongeon. « La justice lyonnaise ne voit aucun acte de prosélytisme ou de revendication religieuse dans l’exposition sur l’art des santonniers organisée à l’hôtel de région en 2017. Les crèches de Noël dans les lieux publics sont en décembre ce que la rentrée scolaire est en septembre : un joli marronnier journalistique qui promet toujours une belle polémique. Chaque année, les élus locaux de droite s’offrent un débat dans la presse locale et régionale : ont-ils le droit d’installer une crèche de Noël dans les hôtels de ville, malgré le devoir de neutralité qui s’impose à eux ? En décembre 2017, le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes donne ainsi son autorisation pour une exposition sur l’art populaire des santonniers (le santon est une figurine en argile peinte représentant des personnages de la Nativité). Plusieurs œuvres représentent des crèches et sont installées dans les locaux du conseil régional […]«
Les crèches de Wauquiez validées par la justice, 23.11.18, lepoint.fr, Catherine Lagrange. « En exposant non plus une crèche de Noël, mais une collection de crèches, la région Auvergne-Rhône-Alpes contourne la question de la laïcité. […]«
Laïcité : des santons très politisés ?En Auvergne-Rhône-Alpes comme en PACA, les politiques s’écharpent à nouveau sur les crèches de Noël. Défense de la tradition ou manœuvre politique ? Jérôme Cordelier, lepoint.fr 15.12.16. « Et c’est reparti ! Voici revenue la désormais traditionnelle polémique sur les crèches à l’approche de Noël. En installant l’une d’entre elles – sur 14 mètres carrés et avec 158 santons – dans le hall du conseil régional Auvergne-Rhône Alpes, le président (LR) de l’institution Laurent Wauquiez échauffe les esprits. « Laurent Wauquiez provoque et entretient une confusion volontaire, pour réaffirmer un message à la droite de la droite en jouant sur la France catholique éternelle », s’exclame ainsi Jean-François Debat, président du groupe PS à la région et maire de Bourg-en-Bresse. […]«
À l’origine du drapeau pirate, 4 mn, 30.8.21, FranceCulture.fr, Maxime Marie. « Vous ne verrez plus jamais le fameux drapeau pirate du même œil. Ce drapeau, pour vous, c’est le symbole des pirates ? Et pourtant, il n’a été utilisé par ces derniers que durant une vingtaine d’années… À la fin du XVIIe, la répression contre les pirates est violente. Pour l’éviter, ces marins n’affichent tout simplement pas de drapeaux à leur navire et préfèrent tendre de faux pavillons pour semer le trouble. Le drapeau noir à tête de mort était en fait utilisé dans un seul but : provoquer une peur panique chez l’équipage abordé et le pousser à abandonner le navire sans endommager le butin. Il est décrit pour la première fois en 1700, par le capitaine du navire anglais HMS Poole, après avoir été attaqué au large de Santiago par le pirate français Emmanuel Wynne. Il décrit un pavillon noir avec tête de mort et des tibias croisés. […]«
Patrimoine & Traditions Républicaines vivaces à Chateaurenard (13)…
Les noms de rues : le casse-tête des mémoires, FranceCulture.fr 30 & 31.7.21 (rediff. du 26.2.21). Après le reportage un débat avec une intervention historique, républicaine, sociale, de l’historien Jean-Marie Guillon (membre de l’association 1851.fr, pour la mémoire des résistances républicaines) et une élue plus politique communautariste qu’historienne. « Dans un contexte de polémiques mémorielles, l’Élysée souhaite mettre à jour le nom des rues. Cette politique s’appuie sur le travail de l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre autour des tirailleurs africains et un recueil d’environ 315 noms remis au chef de l’État […] Ce « Grand Reportage » est suivi d’un débat sur le thème des mémoires : Pourquoi l’État cherche-t-il à gouverner les mémoires ? Quelle place les collectivités locales, qui ont seules la compétence de renommer les rues, vont faire à cette exhortation présidentielle ? Que nous apprennent les épisodes du passé sur la symbolique de la toponymie, comme par exemple la Libération ? Comment ce débat peut-il rebondir cette année dans l’actualité ? […] [Avec :] Jean-Marie Guillon en duplex depuis Bandol dans le Var. Il est Professeur des universités émérite à l’université d’Aix-Marseille, spécialiste de la construction de la mémoire collective au XXe ; Aïssata Seck dans notre studio. Elle est la présidente de l’association pour la mémoire et l’histoire des tirailleurs sénégalais et a très largement contribué à la naturalisation de 28 tirailleurs sénégalais à la fin du mandat de François Hollande. Elle est aussi conseillère municipale (Génération.s) à Bondy (93) et responsable du programme citoyenneté, jeunesse et territoires pour la Fondation pour la mémoire de l’esclavage […]«
Liberté d’Expression. A Ramatuelle (83), 1.7.21, projection du film « Les 3 Vies du Chevalier » avec le réalisateur, Dominique Dattola. Pour la liberté d’expression, du Chevalier de la Barre, au dessin de presse, et à la jeune Mila, menacée de mort sur les réseaux sociaux. Un débat sur la liberté d’expression organisé par Le Crayon, avec UFAL Familles Laïques et Laïcité l’Observatoire PACA-Midi…
La République en fêtes : le patrimoine laïque du Midi, ces « Routes de la République« , avec des statues (Marianne…), des coopératives, des cercles, des arbres de la liberté ou de la laïcité, des frontons d’églises avec devise républicaine… mais aussi quelques fêtes républicaines qui ont perdurées. Les media locaux ont été précieux ainsi que nos collègues historiens méridionaux, dont feu Maurice Aghulon, Jean-Marie Guillon et Maurice Mistre. Si, le plus souvent perdurent des banquets et des apéros républicains, oublions les défilés militaires pour évoquer quelques fêtes républicaines plus originales et très populaires [...]«
Être laïque c’est agir pour l’abrogation du Concordat, Pardem.org 29.5.21. L’affaire de Strasbourg — le vote du principe d’une subvention publique de 2,5 millions d’euros à l’association Milli Görus pour la construction de l’une des plus grandes mosquées d’Europe, par la majorité EELV — a déclenché des cris d’orfraie et une belle polémique. Le Pardem ne s’est pas exprimé à cette période, tout simplement parce que c’est l’existence même du Concordat qui autorise ce que les principes et les règles de la laïcité interdisent. Peu importe que le financement de la mosquée ait été remis en cause par le désistement de l’association. La véritable question qui se pose à tous ceux qui affirment défendre la laïcité — élus et citoyens — est d’agir rapidement pour mettre un terme au Concordat. D’autant qu’un récent sondage réalisé par l’Ifop (1) montre que 78 % des Français, dont 52 % en Alsace Moselle, sont favorables à son abrogation. Rappelons-nous que les religions sont affaires de croyance privée et qu’il revient aux croyants de financer les lieux de culte et le salaire des permanents qu’ils se donnent et pas aux pouvoirs publics, pas à la République, pas à l’ensemble des citoyens ! […]
Mila invitée par le recteur de la Grande Mosquée de Paris : « Aucun des deux n’a hésité (…) ils étaient très désireux de cette rencontre », confie Richard Malka, Qwant.fr Dailymotion BfmTv 9.7.21. « L’avocat de Mila, Richard Malka, était l’invité du Live Toussaint sur BfmTv. Il a salué l’ouverture et le courage de sa cliente et du recteur de la Grande Mosquée de Paris à l’issue de leur rencontre. »
Au lendemain de l’assassinat de Samuel Paty, Jean-Michel Blanquer, ministre de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports, a souhaité confier à Jean-Pierre OBIN, Inspecteur général honoraire, la rédaction d’un rapport consacré à la formation des personnels de l’Éducation nationale à la laïcité et aux valeurs de la République, dans l’objectif que ce rapport aboutisse à des propositions très opérationnelles […] »
Une pétition contre le délit de blasphème en Allemagne est lancée par des libres-penseurs, UFAL.org, 28.1.15. « Alors que l’UFAL, Egale et le Comité Laïcité République ont lancé une pétition pour que le délit de blasphème disparaisse sur tout le territoire de la République, des libres penseurs (DFW) en font de même en Allemagne. Il est intéressant de noter qu’il se battent contre le même article de loi que nous, à savoir l’article 166 du code pénal allemand qui est existe toujours dans le droit en Alsace-Moselle [pétition en française et allemand] : « Abroger enfin l’article 166 du Code Pénal [allemand]. A plusieurs reprises, dont la dernière fois en 2013, le Collectif des associations de libre penseurs (DFW) a exigé l‘abrogation pure et simple de l’article visant le blasphème dans le Code pénal allemand, depuis que les nouvelles orientations de l’UE ont posé les bases de la protection internationale de la liberté de religion, de croyance, d’expression artistique, et de la liberté d’opinion, et, ce qui n’est pas le moindre, de la décriminalisation du blasphème dans l’élaboration de la politique internationale […] »
Laïcité c’est la faute à Voltaire !« Valentine compagnie (Dailymotion.com, il y a 6 ans, en 2021). Découvrez de façon vivante ce qu’est le principe de laïcité, son histoire mouvementée et sa fonction dans notre pays ! Valentine Compagnie vous invite à voir son nouveau spectacle de théâtre musical, créé suite au mouvement de janvier 2015 pour la défense de la liberté d’expression. Marcher le 11 janvier 2015 et se demander comment et pourquoi la laïcité. Mixer une écriture contemporaine avec des textes historiques du 18 ème à nos jours, y mêler des chansons satiriques, caricatures et témoignages. Créer une forme théâtrale libre et inventive qui relie l’histoire aux enjeux de notre époque. Partager avec le public une jubilation à comprendre nos valeurs démocratiques. »…
Création 2015. La France est le seul pays au monde dans lequel la laïcité est une valeur constitutive de la démocratie.Quelle est l’origine de cette laïcité, comment s’est-elle construite dans notre histoire, se confrontant aux réalités des différentes époques ? Un spectacle qui éclaire l’actualité par le recours à l’histoire et à son interprétation vivante. De la Révolution à nos jours, la parole de défenseurs et de détracteurs de la laïcité est mise en scène. Hommes politiques, ecclésiastiques, écrivains, journalistes, citoyens… entre audace et conservatisme, indignation et détermination, délire mélodramatique et mauvaise foi, leurs arguments, portés par des comédiens convaincants, provoquent chez le spectateur une jubilation à comprendre la laïcité et à relier l’histoire aux enjeux d’aujourd’hui. La mise en scène, très contemporaine, libre et inventive, alterne témoignages, textes fondateurs, chansons et images. La musique, jouée en direct, participe au caractère accessible et actuel du spectacle et accompagne des chansons populaires piquantes et profondes […]
Non, la laïcité n’est pas d’origine chrétienne, Mezetulle.fr, 10.6.21. « Jean-Pierre Castel examine une idée répandue qui attribue au christianisme l’origine de la laïcité. Récemment reprise par Jacques Julliard dans un article du Figaro que l’auteur commente, cette idée confond distinction et séparation, et ce faisant elle élude ou détourne de son sens la question fondamentale de l’autonomie du politique. L’auteur expose pourquoi à ses yeux il est plus pertinent, en matière de laïcisation de la pensée, de se tourner vers l’héritage grec plutôt que vers « l’exclusivisme des textes sacrés abrahamiques ». Dans un article du Figaro, 7.6.21 (p. 18) intitulé « La bombe islamiste contre le compromis laïque », Jacques Julliard attribue aux Évangiles le « principe de séparation entre le temporel et le spirituel » – « Ce que Jésus lui-même a théorisé le premier et que nous appelons en France laïcité », avance-t-il –, et propose une analyse pour le moins réductrice, occidentalo-centrée, de la violence islamiste. […] »
« Affaire Tariq Ramadan : la notion d’« emprise » au cœur d’une expertise, 20.5.20 LeMonde.fr, Par Yann Bouchez. Le psychiatre Daniel Zagury, désigné en 2019 par les juges d’instruction pour analyser l’épais dossier judiciaire concernant l’islamologue suisse, a rendu ses conclusions. L’expertise était attendue depuis longtemps, mais le coronavirus a retardé de plusieurs semaines la remise des conclusions aux différentes parties. Dans l’affaire visant Tariq Ramadan, qui vaut à l’islamologue suisse quatre mises en examen en France pour viol, le psychiatre Daniel Zagury avait été désigné, en 2019, par les juges d’instruction. Avec pour mission de donner son avis, après analyse de l’épais dossier judiciaire, sur la notion d’« emprise » de M. Ramadan sur plusieurs femmes, dont certaines ont porté plainte contre lui. Fin mars et mi-avril, M. Zagury, plus connu pour ses travaux concernant les tueurs en série, a rendu ses conclusions, que Le Monde a pu consulter. […] » [Merci au GEMPPI.org]
« Les fêlés qui nous entourent, Denise Bombardier, journaldequebec.com 23.5.20 Citation de l’écrivain anglais G. K. Chesterton : « Lorsque les hommes ne croient plus en Dieu, ce n’est pas qu’ils ne croient en rien, c’est qu’ils sont prêts à croire en tout. » . La vie est paradoxale. En ces temps de pandémie où les scientifiques sortent de l’ombre pour nous éclairer grâce à leur science, l’irrationalité reprend ses droits. À cause des réseaux sociaux, tous les toqués et perturbés diffusent leurs délires plus ou moins élaborés. Les adeptes du complot, contrairement à ce que pensent plusieurs, ne sont pas tous des ignorants et des incultes. Ce sont parfois des universitaires bardés de diplômes. […] » [publié sur FB par D. Pachoud, GEMPPI.org]
Puimichel (04) est « à 700 m d’altitude », « Dany Cardoen, astronome belge s’installe à Puimichel en 1982 et y construit un observatoire astronomique avec le plus grand télescope amateur du monde (à l’époque : 102 cm). Cet observatoire est connu dans le monde des astronomes amateurs, notamment en Belgique, en Allemagne, en Suisse, au Canada » Wikipédia.
Infox décortiquées « Traçage, vaccins empoisonnés… Bill Gates, « poupée-vaudou » des complotistes, 15 & 17.5.20Factuel.Afp.com Déjà nombreuses depuis des années, les infox et théories du complot visant le cofondateur de Microsoft Bill Gates ont trouvé un nouvel élan à la faveur de la pandémie de nouveau coronavirus. Le milliardaire américain – très engagé dans la lutte contre le Covid-19 – est accusé de vouloir exterminer une partie de la population ou de contrôler les gens via la vaccination et/ou l’implantation de puces électroniques ou encore d’avoir contribué à la propagation du virus. L’AFP a décortiqué plusieurs affirmations, infondées mais extrêmement virales sur les réseaux sociaux. […] »
« L’Église catholique et la pandémie : revendication d’exception et surenchère encombrante, 13.5.20 Mezetulle.fr Catherine Kintzler. La date de reprise éventuelle des rassemblements cultuels, fixée initialement au 11 juin puis ramenée au 2 juin, a soulevé les protestations de l’Église catholique, au point que le Premier ministre a évoqué, dans une de ses récentes déclarations, la possibilité de l’avancer au 29 mai. On remarque depuis quelques jours une multiplication de déclarations mi-plaintives mi-indignées de la part de responsables catholiques (soutenus par des responsables politiques) qui semblent décidés à revendiquer un statut d’exception, prétendument « vital », sinon pour leur religion, du moins pour les religions en général. En quoi ils sont surclassés par l’outrance offensive d’un appel catholique international qui, pour revendiquer une liberté exclusive, n’hésite pas à recourir au complotisme […]. »
« Messes interdites: la colère des évêques. Stupéfaits de voir le culte catholique traité comme accessoire, ils n’entendent pas se laisser faire. Jean-Marie Guénois, LeFigaro.fr 29 & 30.5.20 Depuis le début de la crise du Covid-19, le père Bruno Lefevre Pontalis enregistre sa messe dominicale depuis l’église Saint-Francois-Xavier, dans le 7e arrondissement de Paris. La messe est diffusée ensuite en ligne à l’heure habituelle. Il y a de saintes colères. Elles sont lentes, elles viennent de loin. Quand elles se libèrent, elles tonnent. L’Église catholique est en sainte colère. L’intervention du premier ministre Édouard Philippe, mardi 28 avril, en est la cause. Aucun prélat, prêtres et fidèles ne s’attendaient à une grande permission, celle d’ouvrir partout et aussitôt, dès le 11 mai, la messe au public. Mais les catholiques, pour leur majorité – et pas seulement les ultras – ne s’imaginaient être «sous-traités» aux rayons des accessoires de la société, après le sport, les médiathèques et les petits musées… «Je sais l’impatience des communautés religieuses», avait brièvement expliqué l’hôte de Matignon, mais «je crois qu’il est légitime de demander de ne pas organiser de cérémonies avant cette barrière du 2 juin». La réaction a été immédiate. La très prudente Conférence des évêques s’est manifestée de façon inédite. Par un communiqué de protestation, elle a demandé sur-le-champ une «rencontre» avec les autorités… [article payant] » Et, aussi« L’appel de cent trente prêtres au président de la République: «Le 11 mai, laissez-nous servir !» …5.20 LeFigaro.fr
« Mais ces évêques sont fous de la messe ! » (contrepèterie rabelaisienne…) Ch. A.
Midi. Hérault, des « Sorcières » « hérétiques » et » laïques » auraient frappé une croix (selon les inscriptions) !
« L’emblématique croix de fer qui trône au sommet du Pic Saint-Loup, à 658 m d’altitude, a été vandalisée. 12.5.20 France 3 Occitanie YouTube. Elle gît à terre ou plus exactement à moitié dans le vide, après avoir été abattue. Un tag « le pic laïque » a été retrouvé non loin. Certains tweetos rappellent que c’est déjà arrivé en 1989. Zinzin reporter déconfiné de son balcon a fait la montée vers la croix sabotée. Reportage : D.Clerc. » [un reportage manquant vraiment « de recul » et d’analyse]
Sur cette croix du Pic de St Loup vandalisée, on peut poser des questions (est-elle légale ou illégale) :
dates de la première construction et des rénovations (avant ou après 1905) ?
Terrain public ou privé (dessin du cadastre accessible par Geoportail de l’IGN) ?
Une Femen scie une croix…
« Une Femen abat une croix à Kiev pour les Pussy Riot 17.8.12 FranceTvInfo.fr Vidéo. Seins nus, une militante s’est armée d’une tronçonneuse en pleine capitale ukrainienne. EUROPE – Les Pussy Riot attendent, vendredi 17 août, le jugement du parquet russe quant à leur prière anti-Poutine. Les trois jeunes femmes du groupe de punk russe risquent trois ans d’enfermement dans des colonies pénitentiaires. Elles ont reçu de nombreux soutiens à travers le monde. Certains sont plus spectaculaires que d’autres. A Kiev (Ukraine), elles en ont reçu un particulièrement fort de la part des activistes du mouvement féministe Femen. Seins nus, une militante a abattu une croix orthodoxe en bois en plein cœur de la capitale ukrainienne. Pourquoi ce geste ? Les Pussy Riot sont jugées à cause d’une « prière punk » dans une église orthodoxe. En février, les jeunes femmes avaient occupé une cathédrale de Moscou (Russie) et appelé la Vierge Marie à « chasser » le président Vladimir Poutine. » – [« Les militants du FEMEN ont [ou auraient] scié la croix catholique à Kiev […] Selon le media pro-gouvernement russe (donc opposé à la critique du président Poutine et de la religion, 18.8.12 fr.sputniknews.com […] Les activistes du mouvement FEMEN protestant contre la décision du tribunal dans l’affaire du groupe russe Pussy Riot, ont scié par erreur dans le centre-ville la croix catholique, et non pas orthodoxe, a déclaré l’organisation publique ukrainienne « Le choix orthodoxe ». Cette croix avec le crucifix catholique a été installée en 2004 lors de la « révolution orange » par les uniates de Transcarpathie en mémoire des victimes — les personnes torturées et assassinées en 1920-1930 par la Tchéka-NKVD. »
Monstres légendaires de Provence, Vimeo.com 15.5.20 IMCA ProvencePlus, Gilbert Chalençon et Claude Roux, historiens, nous emmènent à la découverte de monstres légendaires de Provence : la Tarasque et la Coulobre. IMCA Provence 2020 Réalisation : Elsa Leguay et Colombe Valette.
« il n’y a de vrai changement que par le libre consentement des hommes » Condorcet
« Tu as l’impression d’avoir été libre ces deux derniers mois ? Nous avons été « assignés à résidence » : la contrainte (« par corps ») n’invite pas à la responsabilité du citoyen, mais à son infantilisation et-ou à la révolte ! Mieux valait vivre en RFA [qu’en France]. » Lu sur Facebook 9.5.20
« Béziers, l’initiative de Robert Ménard fait bondir les maires du territoire, 9.5.20 MidiLibre.fr, Le maire de Béziers veut étendre [sa] distribution des masques aux communes alentours. Le maire de Béziers veut donner des masques aux habitants de 30 communes. L’initiative en a fait bondir plus d’un. Des Biterrois, qui ne comprennent pas trop pourquoi leur maire va s’occuper des affaires des autres, mais surtout des élus de villages alentours qui l’accusent d’ingérence. Et puis les présidents de l’Agglo de Béziers et de La Domitienne, qui se demandent clairement à quoi il joue. […] Parce que les maires savent bien ce qui se cache derrière tout ça : de la politique. L’opération, qui dans le sens inverse aurait sans doute fait bondir le maire de Béziers, sera forcément populaire auprès des habitants, qui ne cracheront pas sur deux ou trois masques de plus. Et Robert Ménard saura sans aucun doute leur rappeler, dans quelques mois, quand il s’agira d’élire les candidats qu’il défendra aux prochaines Départementales… G. Richaud
Laïcité et l’inverse
Pluralisme religieux(différent de la Laïcité). « Laïcité : cette association organise des marches inter-convictionnelles, 11.11.19 Positivr.fr. Mathilde Sallé de Chou, Au cœur de la tempête médiatique qui interroge sur le modèle de laïcité à la française, certains gardent le cap du vivre ensemble. C’est le cas de l’association Compostelle-Cordoue, qui organise des marches inter-convictionnelles. Des agnostiques, des juifs, des musulmans, des catholiques, des protestants et des bouddhistes de tous âges qui marchent ensemble, ça vous étonne ? C’est pourtant le beau projet inter-convictionnel que soutient l’association Compostelle-Cordoue depuis plus de dix ans […]«
Interconfessionnel. « La Fondation et Compostelle-Cordoue[2016]. Une association née pour dépasser l’image du Matamore, Fondation David-Parou. Une trentaine de personnes, réunies à Genève les 18 et 19 avril 2009, sur le thème du pèlerinage, chemin d’ouverture et de tolérance confronté à la figure guerrière du Matamore, ont décidé de créer l’association Compostelle-Cordoue. En novembre 2010, cette association a organisé un colloque de deux jours à Cordoue précédé par une marche symbolique de Compostelle à Cordoue. Considérés comme représentatifs de l’Europe pèlerine du Moyen Age, les chemins de Compostelle ont été définis par le Conseil de l’Europe, en octobre 1987, comme un symbole de la construction de l’Europe. Les routes médiévales européennes étaient parcourues par de nombreux pèlerins. Tous n’allaient pas à Compostelle mais tous se dirigeaient vers un sanctuaire pour rendre gloire ou remercier. Leur ancêtre commun peut être reconnu en Abraham, le patriarche biblique, père des croyants, le premier à s’être mis en route à l’appel de son Dieu. Ce personnage biblique fait partie de la tradition commune des trois religions monothéistes présentes dans le sud de l’Espagne au début du culte de saint Jacques à Compostelle. Elles y ont vécu un temps en bonne intelligence et ce temps, bien que très court, reste un symbole d’espérance. Un autre itinéraire culturel du Conseil de l’Europe, Al Andalus, en témoigne, reconnaissant l’apport de cette époque à l’identité européenne. La marche vers Cordoue. En 2010, l’association a invité ses membres et sympathisants à marcher de Compostelle à Cordoue. Le trajet proposé symbolisait celui de la Reconquista. Mais il était parcouru dans un esprit bien différent. Quatre grands marcheurs sont partis de Compostelle mi-octobre 2010. Ils ont rejoint un groupe de 18 personnes réunies à Mérida le 14 novembre pour une marche de 230 km […]« .
Constat Laïque
1° – On peut noter dans ces deux textes : l’utilisation des termes « laïcité », « laïcité à la française », « vivre ensemble », « tolérance », « inter-convictionnel »… et un « oubli » ou une incompréhension ; la laïcité concerne l’organisation politique de la société qui permet l’égalité des citoyens par une neutralité des pouvoirs publics envers les différentes options spirituelles, religieuses et philosophiques. La laïcité ne traite pas des options spirituelles qui concernent l’intime des individus-citoyens.
2° – Il y a un « aveu », par l’évocation du « Matamore » (le tueur de Maures) et de la « Reconquista » (la reconquête catholique des terres conquises par l’invasion musulmane) : la base idéologique sur laquelle le mythe de ce pèlerinage est construit, et, que méconnaissent la plupart des pèlerins de Compostelle [autrefois, « on faisait brûler des petites mosquées en carton », nous disait Francine, laïque catholique de Golias.fr, 9.04 à Arles, à l’université d’été d’ATTAC ; et, ce que nous confirmait une bénévole de l’association des Chemins de Compostelle d’Arles].
3° – Les « Chemins de Compostelle » définis par le Conseil de l’Europe comme un « symbole de la construction de l’Europe » 9.87. Par cette « consécration », cette instance avalise une période à la fois, violente, réactionnaire, pro-chrétienne et anti-musulmane ! L’association « Compostelle-Cordoue » propose Abraham pour « ancêtre commun », ce qui ne concerne que les citoyens croyants des trois religions du Livre, et exclue, de fait, les citoyens d’autres croyances, et d’autres philosophies, agnostiques et athées, en particulier. Pour réunir tous les citoyens d’Europe autour d’un symbole commun, qui doit être neutre religieusement, cette instance européenne pourrait promouvoir un humaniste d’un pays du continent européen : Erasme, Voltaire, Giordano Bruno…
Social
« Pourquoi je m’oppose à l’implantation d’Amazon près du Pont du Gard”, Thierry Cenatiempo [22.5.20 Vincent Nouzille, Vimeo.com] , maire d’une commune voisine. Thierry Cenatiempo, maire (jusque fin mai 2020) de la commune de St-Hilaire-d’Ozilhan, située à quelques kilomètres du futur (possible) centre de tri d’Amazon à Fournès (Gard) et du Pont du Gard explique son opposition à ce projet qu’il juge aberrant pour plusieurs raisons …« .
La Réunion. « Ils étaient dans l’enceinte portuaire. 2.5.20 iprenion.com ImazPress. Célébration du 1er mai : aucun docker n’a été verbalisé. Une quarantaine de dockers syndiqués se sont rassemblés à l’appel de la CGTR port et docks pour célébrer la fête du travail du 1er mai et applaudir toutes celles et ceux qui travaillent depuis le début du confinement, notamment les dockers qui assurent la réception des marchandises arrivées par bateau. Contrairement à ce qui a été dit dans plusieurs médias locaux, aucun docker n’a été verbalisé hier au port-est, indiquent les forces de l’ordre à Imaz Press […]«
1er mai et symboles
« L’églantine rouge– généralement artificielle – portée à la boutonnière servit de signe de reconnaissance aux socialistes à partir de 1899 (manifestations du 11 juin à l’Hippodrome de Longchamp, la droite nationaliste et antidreyfusarde arborant pour sa part des œillets blancs. Après la Première Guerre mondiale, cet insigne fut encore porté lors des grands rassemblements de la gauche socialiste et communiste jusqu’au Front Populaire »extrait de la page l’Eglantine rouge« , Wikipédia, (vue, 30.4.20)
« L’églantine du 1er mai, « En 1907, à Paris, le muguet remplace l’églantine. Le brin de muguet est porté à la boutonnière avec un ruban rouge. Lorsque, le 24 avril 1941, le régime de Vichy décrète le 1er mai « Fête du Travail et de la Concorde sociale », le maréchal Pétain impose le muguet à la place de l’églantine dont il trouve la couleur rouge trop associée à la gauche et au mouvement communiste » extrait de la page « Journée internationale des travailleurs« , Wikipédia (vue, 30.4.20)
Bella Ciao, trois versions
En public et dansant, sur des sons des Balkans. « Bella Ciao, par Goran Bregovic, en public, Paris 2013 (chaine YouTube) de Goran Bregovic) 14.3.13
Social Punk. « Bella Ciao, Chumbawamba,A Singsong and a Scrap (P) 2005 Chumbawamba, 5.11.14, chaine YouTube de Chumbawamba. « Chumbawamba est un groupe de punk rock britannique, originaire de Burnley, Lancashire, en Angleterre. Il est rendu célèbre en 1997 à la suite de la sortie du single Tubthumping. Originaires pour la plupart d’entre eux de Burnley, les membres de Chumbawamba se rencontrèrent aux alentours de 1979 /1980 dans les différents concerts punk de l’époque ou bien à l’université. En plus de 25 ans, Chumbawamba sort de nombreux albums souvent très différents des uns aux autres. Fortement engagé sur les questions de société, ils sont toujours restés fidèles à une idéologie marquée très à gauche, dans un esprit anarcho-punk. L’album le plus célèbre de Chumbawamba reste Tubthumper, sorti en 1997 sur le label EMI […] » Vu 1.5.20
Sur une rue qui mène à la digue de Trinquetaille (13) Arles…
« il était une fois… le parc des animaux de feu Jean-Louis Falgon, « papy Jeannot », qui a ravi des générations d’enfants et d’adultes, à Trinquetaille (13) Arles, devant la résidence L’île des sables, rue Henri Dunant (qui mène à la digue de Trinquetaille) 21 janv. 2007″