Crèches de Noël : Laurent Wauquiez gagne en appel, [contre la Ligue des Droits de l’Homme] 6.9.21 LePoint.fr, Marc Leplongeon. « La justice lyonnaise ne voit aucun acte de prosélytisme ou de revendication religieuse dans l’exposition sur l’art des santonniers organisée à l’hôtel de région en 2017. Les crèches de Noël dans les lieux publics sont en décembre ce que la rentrée scolaire est en septembre : un joli marronnier journalistique qui promet toujours une belle polémique. Chaque année, les élus locaux de droite s’offrent un débat dans la presse locale et régionale : ont-ils le droit d’installer une crèche de Noël dans les hôtels de ville, malgré le devoir de neutralité qui s’impose à eux ? En décembre 2017, le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes donne ainsi son autorisation pour une exposition sur l’art populaire des santonniers (le santon est une figurine en argile peinte représentant des personnages de la Nativité). Plusieurs œuvres représentent des crèches et sont installées dans les locaux du conseil régional […]«
Les crèches de Wauquiez validées par la justice, 23.11.18, lepoint.fr, Catherine Lagrange. « En exposant non plus une crèche de Noël, mais une collection de crèches, la région Auvergne-Rhône-Alpes contourne la question de la laïcité. […]«
Laïcité : des santons très politisés ?En Auvergne-Rhône-Alpes comme en PACA, les politiques s’écharpent à nouveau sur les crèches de Noël. Défense de la tradition ou manœuvre politique ? Jérôme Cordelier, lepoint.fr 15.12.16. « Et c’est reparti ! Voici revenue la désormais traditionnelle polémique sur les crèches à l’approche de Noël. En installant l’une d’entre elles – sur 14 mètres carrés et avec 158 santons – dans le hall du conseil régional Auvergne-Rhône Alpes, le président (LR) de l’institution Laurent Wauquiez échauffe les esprits. « Laurent Wauquiez provoque et entretient une confusion volontaire, pour réaffirmer un message à la droite de la droite en jouant sur la France catholique éternelle », s’exclame ainsi Jean-François Debat, président du groupe PS à la région et maire de Bourg-en-Bresse. […]«
À l’origine du drapeau pirate, 4 mn, 30.8.21, FranceCulture.fr, Maxime Marie. « Vous ne verrez plus jamais le fameux drapeau pirate du même œil. Ce drapeau, pour vous, c’est le symbole des pirates ? Et pourtant, il n’a été utilisé par ces derniers que durant une vingtaine d’années… À la fin du XVIIe, la répression contre les pirates est violente. Pour l’éviter, ces marins n’affichent tout simplement pas de drapeaux à leur navire et préfèrent tendre de faux pavillons pour semer le trouble. Le drapeau noir à tête de mort était en fait utilisé dans un seul but : provoquer une peur panique chez l’équipage abordé et le pousser à abandonner le navire sans endommager le butin. Il est décrit pour la première fois en 1700, par le capitaine du navire anglais HMS Poole, après avoir été attaqué au large de Santiago par le pirate français Emmanuel Wynne. Il décrit un pavillon noir avec tête de mort et des tibias croisés. […]«
Patrimoine & Traditions Républicaines vivaces à Chateaurenard (13)…
Les noms de rues : le casse-tête des mémoires, FranceCulture.fr 30 & 31.7.21 (rediff. du 26.2.21). Après le reportage un débat avec une intervention historique, républicaine, sociale, de l’historien Jean-Marie Guillon (membre de l’association 1851.fr, pour la mémoire des résistances républicaines) et une élue plus politique communautariste qu’historienne. « Dans un contexte de polémiques mémorielles, l’Élysée souhaite mettre à jour le nom des rues. Cette politique s’appuie sur le travail de l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre autour des tirailleurs africains et un recueil d’environ 315 noms remis au chef de l’État […] Ce « Grand Reportage » est suivi d’un débat sur le thème des mémoires : Pourquoi l’État cherche-t-il à gouverner les mémoires ? Quelle place les collectivités locales, qui ont seules la compétence de renommer les rues, vont faire à cette exhortation présidentielle ? Que nous apprennent les épisodes du passé sur la symbolique de la toponymie, comme par exemple la Libération ? Comment ce débat peut-il rebondir cette année dans l’actualité ? […] [Avec :] Jean-Marie Guillon en duplex depuis Bandol dans le Var. Il est Professeur des universités émérite à l’université d’Aix-Marseille, spécialiste de la construction de la mémoire collective au XXe ; Aïssata Seck dans notre studio. Elle est la présidente de l’association pour la mémoire et l’histoire des tirailleurs sénégalais et a très largement contribué à la naturalisation de 28 tirailleurs sénégalais à la fin du mandat de François Hollande. Elle est aussi conseillère municipale (Génération.s) à Bondy (93) et responsable du programme citoyenneté, jeunesse et territoires pour la Fondation pour la mémoire de l’esclavage […]«
Les jeunes profs favorables à une « laïcité ouverte, libérale et inclusive », Marc André 7.7.21 Ouest-France.fr. Une étude de la Fondation Jean Jaurès pointe un fossé générationnel entre les jeunes professeurs, séduits par une conception anglo-saxonne de la laïcité, favorables au port du voile ou au burkini, et leurs aînés. Quelle place les enseignants accordent-ils aux religions à l’école ? Vaste sujet, objet de bien des passions depuis la loi du 9 décembre 1905 relative à la séparation des Églises et de l’État. La question est revenue sous le feu des projecteurs après l’assassinat du professeur d’histoire-géographie Samuel Paty, le 16 octobre 2020 à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines), après qu’il avait montré en classe des caricatures de Mahomet. Dans un rapport rendu au printemps, l’inspecteur général de l’Éducation nationale Jean-Pierre Obin faisait état d’une confusion intellectuelle chez les élèves et les enseignants quant à leur définition de la laïcité et des valeurs républicaines. Ce qui a conduit le ministre Jean-Michel Blanquer à lancer un vaste plan de formation sur quatre ans à la rentrée 2021. Au grand dam de l’association Vigie de la laïcité qui a dénoncé par avance « une mise sous tutelle idéologique du terme [laïcité], totalement opposée à l’idéal laïque » . […]«
Les noms de rues : le casse-tête des mémoires, FranceCulture.fr 30 & 31.7.21 (rediff. du 26.2.21). Après le reportage un débat avec une intervention historique, républicaine, sociale, de l’historien Jean-Marie Guillon (membre de l’association 1851.fr, pour la mémoire des résistances républicaines) et une élue plus politique communautariste qu’historienne. « Dans un contexte de polémiques mémorielles, l’Élysée souhaite mettre à jour le nom des rues. Cette politique s’appuie sur le travail de l’Office national des anciens combattants et victimes de guerre autour des tirailleurs africains et un recueil d’environ 315 noms remis au chef de l’État […] Ce « Grand Reportage » est suivi d’un débat sur le thème des mémoires : Pourquoi l’État cherche-t-il à gouverner les mémoires ? Quelle place les collectivités locales, qui ont seules la compétence de renommer les rues, vont faire à cette exhortation présidentielle ? Que nous apprennent les épisodes du passé sur la symbolique de la toponymie, comme par exemple la Libération ? Comment ce débat peut-il rebondir cette année dans l’actualité ? […] [Avec :] Jean-Marie Guillon en duplex depuis Bandol dans le Var. Il est Professeur des universités émérite à l’université d’Aix-Marseille, spécialiste de la construction de la mémoire collective au XXe ; Aïssata Seck dans notre studio. Elle est la présidente de l’association pour la mémoire et l’histoire des tirailleurs sénégalais et a très largement contribué à la naturalisation de 28 tirailleurs sénégalais à la fin du mandat de François Hollande. Elle est aussi conseillère municipale (Génération.s) à Bondy (93) et responsable du programme citoyenneté, jeunesse et territoires pour la Fondation pour la mémoire de l’esclavage […]«
Liberté d’Expression. A Ramatuelle (83), 1.7.21, projection du film « Les 3 Vies du Chevalier » avec le réalisateur, Dominique Dattola. Pour la liberté d’expression, du Chevalier de la Barre, au dessin de presse, et à la jeune Mila, menacée de mort sur les réseaux sociaux. Un débat sur la liberté d’expression organisé par Le Crayon, avec UFAL Familles Laïques et Laïcité l’Observatoire PACA-Midi…
La République en fêtes : le patrimoine laïque du Midi, ces « Routes de la République« , avec des statues (Marianne…), des coopératives, des cercles, des arbres de la liberté ou de la laïcité, des frontons d’églises avec devise républicaine… mais aussi quelques fêtes républicaines qui ont perdurées. Les media locaux ont été précieux ainsi que nos collègues historiens méridionaux, dont feu Maurice Aghulon, Jean-Marie Guillon et Maurice Mistre. Si, le plus souvent perdurent des banquets et des apéros républicains, oublions les défilés militaires pour évoquer quelques fêtes républicaines plus originales et très populaires [...]«
Être laïque c’est agir pour l’abrogation du Concordat, Pardem.org 29.5.21. L’affaire de Strasbourg — le vote du principe d’une subvention publique de 2,5 millions d’euros à l’association Milli Görus pour la construction de l’une des plus grandes mosquées d’Europe, par la majorité EELV — a déclenché des cris d’orfraie et une belle polémique. Le Pardem ne s’est pas exprimé à cette période, tout simplement parce que c’est l’existence même du Concordat qui autorise ce que les principes et les règles de la laïcité interdisent. Peu importe que le financement de la mosquée ait été remis en cause par le désistement de l’association. La véritable question qui se pose à tous ceux qui affirment défendre la laïcité — élus et citoyens — est d’agir rapidement pour mettre un terme au Concordat. D’autant qu’un récent sondage réalisé par l’Ifop (1) montre que 78 % des Français, dont 52 % en Alsace Moselle, sont favorables à son abrogation. Rappelons-nous que les religions sont affaires de croyance privée et qu’il revient aux croyants de financer les lieux de culte et le salaire des permanents qu’ils se donnent et pas aux pouvoirs publics, pas à la République, pas à l’ensemble des citoyens ! […]
Mila invitée par le recteur de la Grande Mosquée de Paris : « Aucun des deux n’a hésité (…) ils étaient très désireux de cette rencontre », confie Richard Malka, Qwant.fr Dailymotion BfmTv 9.7.21. « L’avocat de Mila, Richard Malka, était l’invité du Live Toussaint sur BfmTv. Il a salué l’ouverture et le courage de sa cliente et du recteur de la Grande Mosquée de Paris à l’issue de leur rencontre. »
Au lendemain de l’assassinat de Samuel Paty, Jean-Michel Blanquer, ministre de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports, a souhaité confier à Jean-Pierre OBIN, Inspecteur général honoraire, la rédaction d’un rapport consacré à la formation des personnels de l’Éducation nationale à la laïcité et aux valeurs de la République, dans l’objectif que ce rapport aboutisse à des propositions très opérationnelles […] »
Une pétition contre le délit de blasphème en Allemagne est lancée par des libres-penseurs, UFAL.org, 28.1.15. « Alors que l’UFAL, Egale et le Comité Laïcité République ont lancé une pétition pour que le délit de blasphème disparaisse sur tout le territoire de la République, des libres penseurs (DFW) en font de même en Allemagne. Il est intéressant de noter qu’il se battent contre le même article de loi que nous, à savoir l’article 166 du code pénal allemand qui est existe toujours dans le droit en Alsace-Moselle [pétition en française et allemand] : « Abroger enfin l’article 166 du Code Pénal [allemand]. A plusieurs reprises, dont la dernière fois en 2013, le Collectif des associations de libre penseurs (DFW) a exigé l‘abrogation pure et simple de l’article visant le blasphème dans le Code pénal allemand, depuis que les nouvelles orientations de l’UE ont posé les bases de la protection internationale de la liberté de religion, de croyance, d’expression artistique, et de la liberté d’opinion, et, ce qui n’est pas le moindre, de la décriminalisation du blasphème dans l’élaboration de la politique internationale […] »
Laïcité c’est la faute à Voltaire !« Valentine compagnie (Dailymotion.com, il y a 6 ans, en 2021). Découvrez de façon vivante ce qu’est le principe de laïcité, son histoire mouvementée et sa fonction dans notre pays ! Valentine Compagnie vous invite à voir son nouveau spectacle de théâtre musical, créé suite au mouvement de janvier 2015 pour la défense de la liberté d’expression. Marcher le 11 janvier 2015 et se demander comment et pourquoi la laïcité. Mixer une écriture contemporaine avec des textes historiques du 18 ème à nos jours, y mêler des chansons satiriques, caricatures et témoignages. Créer une forme théâtrale libre et inventive qui relie l’histoire aux enjeux de notre époque. Partager avec le public une jubilation à comprendre nos valeurs démocratiques. »…
Création 2015. La France est le seul pays au monde dans lequel la laïcité est une valeur constitutive de la démocratie.Quelle est l’origine de cette laïcité, comment s’est-elle construite dans notre histoire, se confrontant aux réalités des différentes époques ? Un spectacle qui éclaire l’actualité par le recours à l’histoire et à son interprétation vivante. De la Révolution à nos jours, la parole de défenseurs et de détracteurs de la laïcité est mise en scène. Hommes politiques, ecclésiastiques, écrivains, journalistes, citoyens… entre audace et conservatisme, indignation et détermination, délire mélodramatique et mauvaise foi, leurs arguments, portés par des comédiens convaincants, provoquent chez le spectateur une jubilation à comprendre la laïcité et à relier l’histoire aux enjeux d’aujourd’hui. La mise en scène, très contemporaine, libre et inventive, alterne témoignages, textes fondateurs, chansons et images. La musique, jouée en direct, participe au caractère accessible et actuel du spectacle et accompagne des chansons populaires piquantes et profondes […]
Non, la laïcité n’est pas d’origine chrétienne, Mezetulle.fr, 10.6.21. « Jean-Pierre Castel examine une idée répandue qui attribue au christianisme l’origine de la laïcité. Récemment reprise par Jacques Julliard dans un article du Figaro que l’auteur commente, cette idée confond distinction et séparation, et ce faisant elle élude ou détourne de son sens la question fondamentale de l’autonomie du politique. L’auteur expose pourquoi à ses yeux il est plus pertinent, en matière de laïcisation de la pensée, de se tourner vers l’héritage grec plutôt que vers « l’exclusivisme des textes sacrés abrahamiques ». Dans un article du Figaro, 7.6.21 (p. 18) intitulé « La bombe islamiste contre le compromis laïque », Jacques Julliard attribue aux Évangiles le « principe de séparation entre le temporel et le spirituel » – « Ce que Jésus lui-même a théorisé le premier et que nous appelons en France laïcité », avance-t-il –, et propose une analyse pour le moins réductrice, occidentalo-centrée, de la violence islamiste. […] »
3 Questions Laïques aux Candidatures aux Elections Départementales et Régionales de 2021
Depuis une vingtaine d’années, nous envoyons trois questions laïques aux candidatures aux élections municipales, départementales, régionales et législatives.
1°- Qu’est-ce la laïcité :comment la promouvoir et la défendre avec les compétences du département et de la Région ?
2° – Subventions publiques légales mais non-obligatoires aux établissements scolaires privés(confessionnels ou non) : quelle sera votre attitude ?Financement public des manifestations religieuses et-ou communautaires(Nouvel An Chinois, fêtes juives, chrétiennes, Aïd, bouddhistes…)et des associations religieuses et-ou communautaires : quelle est votre opinion ?
3° – Des collectivités publiques(mairies, régions, départements…) demandent aux associations de signer une Charte de la Laïcité et-ou des valeurs de la République.Qu’en pensez-vous ?
Mila, soutien des Femen 25.1.21 « FEMEN: Vive le droit au blasphème !Soutien à Mila ! Face à un déferlement d’injures sexistes, homophobes, de menaces de viol et de mort, une lycéenne qui n’avait commis aucune infraction s’est retrouvée quasiment seule, harcelée par des milliers d’agresseurs islamistes. Toutefois, les FEMEN lui ont apporté leur soutien. » Lancetre 9.2.21 blog Mediapart
Affaire Mila, cyber-harcèlement, misogynie, technologie, laïcité : vers une nouvelle culture de l’insulte ?27.6.21 FranceCulture Signes des Temps « Mila est à nouveau sur le devant de la scène enflamme une fois de plus les passions ; pourquoi ? La sortie du livre de Mila Je suis le prix de votre liberté la semaine dernière a coïncidé avec le procès de treize des dizaines de milliers d’individus qui depuis janvier 2020 lui promettent l’acide, le viol et la mort pour avoir insulté la religion musulmane et remis au centre de la scène la jeune fille déscolarisée et interdite de vie sociale pour cause de menace aujourd’hui âgée de 18 ans…«
« Affaire Mila : sur les réseaux sociaux, la jeunesse entre liberté et harcèlement, avec Me Richard Malka, L’Invité(e) des Matins de Guillaume Erner, 24.6.21 FranceCulture.fr – Ce matin, retour sur les deux jours de procès dans lequel les harceleurs de Mila, la jeune femme de 18 ans victime d’un déchaînement de haine, après ses prises de positions sur l’islam, en novembre 2020, ont été appelés à la barre. Durant le procès de l’affaire Mila, treize prévenus ont été appelés à la bar pour répondre aux messages de “lynchage 2.0” qu’ils ont envoyé à la jeune femme après ses prises de positions sur l’islam. Cette affaire, aux dimensions politiques et judiciaires, dépasse le sort des parties prenantes au procès…«
« Après que Mila, une adolescente a été menacée de mortpour avoir critiqué l’islam sur Instagram, le débat public a été traversé par l’amalgame entre la notion d’insulte à la religion et celle d’atteinte à la liberté de conscience. Où en est-on aujourd’hui avec le droit de critiquer la religion? Peut-on encore clamer « Ni Dieu ni maître » ? » 2.2.20 FranceCulture, Signes des Temps.
3 Questions Laïques aux Candidatures aux Elections Départementales et Régionales de 2021
Depuis une vingtaine d’années, nous envoyons trois questions laïques aux candidatures aux élections municipales, départementales, régionales et législatives.
1°- Qu’est-ce la laïcité :comment la promouvoir et la défendre avec les compétences du département et de la Région ?
2° – Subventions publiques légales mais non-obligatoires aux établissements scolaires privés(confessionnels ou non) : quelle sera votre attitude ?Financement public des manifestations religieuses et-ou communautaires(Nouvel An Chinois, fêtes juives, chrétiennes, Aïd, bouddhistes…)et des associations religieuses et-ou communautaires : quelle est votre opinion ?
3° – Des collectivités publiques(mairies, régions, départements…) demandent aux associations de signer une Charte de la Laïcité et-ou des valeurs de la République.Qu’en pensez-vous ?
Champsaur. « Un monstre sacré » de Pierre Magnan. La belle et instructive lecture du moment (au coin du feu, puisque le soleil est en grève longue durée en ce joli mois de mai…). Où l’on découvre que Pierre Magnan a séjourné à Saint-Bonnet-en-Champsaur en 1942, en compagnie de Thyde Monnier, à l’hôtel Mauberret-Combassive ! Extrait de la description de l’arrivée à destination : « Il [le chauffeur] annonce triomphalement les stations où il dépose du monde : les Farauds, Laye, Brutinel. ABrutinel il descend boire un coup, ce doit être rituel. Il annonce les Baraques d’un air méprisant. Un dernier coup de collier et la voiture nous déverse tous sur le champ de fore de Saint-Bonnet… », le photographe Denis Lebioda sur Facebook. De mémoire, Pierre Magan a évoqué plusieurs fois les Hautes-Alpes (« Mon ami Laviolette à Gap »), le Champsaur (dédicaces à la Maison de la presse de St Bonnet)…. Images à Barcelonette et Briançon, où nous l’avons accompagné à l’ex-Librairie Fou l’Art Noir, situé dans la Petite Gargouille…