UFAL Familles LAIQUES,Union des Familles Laïques des Pays et Arrondissements d’Arles & d’Istres – UFAL en PACA.
« Une Esplanade de la Laïcité et un Arbre de la Laïcité sur le parvis le collège Frédéric Mistral d’Arles, près de la place Lamartine et de la gare SNCF (Bouches-du-Rhône) inaugurés par la municipalité, des collégiens, des enseignants et responsables du collège, des laïques avec « Laïcité l’Observatoire d’Arles et de PACA» et UFAL Familles LAÏQUES, le 20 juin 2012«
Inauguration. de « l’Esplanade de la laïcité« , et de « l’Arbre de la Laïcité« , devant le Collègue F. Mistral, à Arles, 20 juin 2012
Collectif Laïque des Bouches-du-Rhône
Istres. Participation au Collectif laïque 13 (associations laïques des BdR), avec Laïcité l’Observatoire PACA-Midi, sous l’égide de l’OLPPI (Observatoire de la Laïcité de Provence et du Pays d’Istres). Outre l’OLPPI, Laïcité l’Observatoire, le CDEEP (Centre Départemental d’Etude et d’Education Permanente) et un autre éphémère observatoire laïque rhodanien.
Droits des Femmes
8 mars, à Arles (13), quelques infos… « La Parole est Notre Liberté« , appel collectif arlésien pour le 8 mars 2021, journée de lutte pour les Droits des Femmes – Rassemblement, à 17 h, le lundi 8 mars, place de la République à Arles
Maintien des Guichets des Gares du Pays d’Arles. « Le directeur des lignes Ouest Provence de la SNCF est venu informer M. Lucien Limousin, maire de Tarascon de la fermeture de la billetterie en gare de Tarascon à compter du 1er novembre prochain. Malgré une fréquentation de la gare en hausse de 13 % cette fermeture serait motivée par « une baisse drastique de l’activité de guichet » écrit le maire.
Nous habitons Tarascon et sa région, usagers SNCF, nous demandons à M. Muselier, président de la Région Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur, et son prestataire SNCF, le maintien d’un guichet pour les usagers du train (travail, scolaires, tourisme, retraités…).
Transport Public. Des usagers protestent contre la suppression de trains régionaux TER (août 2005), avec l’aide de l’UFAL. Et, des media répercutent l’info (Radio France Provence, La Provence, La Marseillaise).
Infos rassemblées par des laïques d’ici et d’ailleurs
Laïcité
Fric Public pour Religion Privée ?
Portugal. « Un artiste critique le financement public de la visite du pape et déclenche une polémique, 29.7.23, RFI.fr – L’artiste de street art portugais Bordalo II a provoqué un scandale en déroulant vendredi 28 juillet un tapis de faux billets géants de 500 euros sur l’autel où le pape François célèbrera une messe lors des Journées mondiales de la jeunesse (JMJ) à Lisbonne. L’artiste connu surtout pour ses œuvres en relief d’animaux, constituées de plastiques récupéré, voulait dénoncer l’utilisation d’argent public pour l’organisation de cet événement majeur de l’Église catholique, entre le 1er et le 6 août. […]« .
Le drapeau tricolore et Marianne à l’honneur à Mèze et Balaruc (34). UFAL Familles laïques et Laïcité l’Observatoire PACA Midi ont fait voyagé leur bonnet phrygien dans ces communes de l’Hérault, grâce au Comité d’Action Laïque de Mèze et Olaic34.fr, l’Observatoire de la Laïcité de Coeur d’Hérault. Au programme : dans la mairie, expo d’un concours de dessins sur le drapeau républicain par des écoliers de Mèze, avec une conférence illustrée sur l’histoire de l’emblème aux trois couleurs [CALM]. Et l’après-midi, présence à l’exposition « Toutes Marianne » à Balaruc avec un exposé sur ce symbole de la République [Olaic34.fr]. Des images et un peu d’histoire pour réunir les générations un jour de fête populaire.
[Commentaire. Le maire de Montpellier est la cible de certaines associations laïques, dont celles qui sont liées avec une frange de la gauche radicale (mais pas Lutte Ouvrière, non relativiste culturelle). S’il apparaît très juste de pointer les contradictions de l’élu, la laïcité « à géométrie variable » qui lui est reprochée, est aussi pratiquée par certains de ses opposants « politico-laïques » qui ne s’attaquent qu’aux dérives de la religion catholique ! « La laïcité pour tous » et les « droits des femmes » sont de bons slogans que les laïques féministes, ET fonctionnaires ou élus devraient appliquer ! Leïla Amik]
Uniforme Scolaire ?
Un maillot pour l’école, 18.1.23 Caroline Fourest, Franc-Tireur.fr n° 62. Les jeunes adorent se draper dans les couleurs des Bleus pour soutenir leur équipe. Pourquoi ne porteraient-ils pas un maillot pour aller à l’école ? C’est le cas en Afrique, en Angleterre, aux États-Unis, et même en Guadeloupe. Personne n’en n’est mort. Cela renforce le sentiment d’appartenance à un groupe, le caractère solennel de l’institution scolaire, tout en soulageant le porte-monnaie des parents les plus modestes. […] Avec le recul, le maillot scolaire aurait aussi pu régler la question du voile. Comme il pourrait nous épargner la crise actuelle des abayas. Alors pourquoi pas ? […] S’il permet d’adoucir les différences de genre et de classe, tout en affirmant le caractère solennel de l’école, le maillot scolaire ne sera pas un retour en arrière mais un progrès. […] Enfin, parce que cette proposition de loi est envisagée par des députés du groupe Renaissance, mais aussi du RN… qui entache tout ce qu’il touche. Marine Le Pen a tenté de faire croire, comme toujours, que son parti avait eu l’idée en premier. C’est faux. Cette réflexion est portée par les milieux laïques depuis la loi de mars 2004, à laquelle son parti s’est opposé. Le Rassemblement ne milite pas pour l’uniforme à l’école par souci d’égalité, mais par nostalgie de l’autorité. […]«
Le Conseil d’Etat, le 29.6.23, maintient la neutralité des participants d’une manifestation sportive dans le règlement de la Fédé de Foot Française (FFF) en rejetant des recours visant à imposer le voile dans le stade. Une procédure qui était intentée par des associations communautaristes, Alliance Citoyenne (et son collectif de Hijabeuses), Contre Attaque… ainsi que la LDH, Ligue des Droits de l’Homme. Par contre, la LIDF, la Ligue Internationale des Droits des Femmes s’est portée partie civile pour le maintien de la neutralité (et la non promotion d’un signe patriarcal et d’infériorité des femmes). Sources : [Conseil-Etat.fr] [CharlieHebdo.fr] [Vigilance Laïcité 13 sud] [LIDF] [Alliance Citoyenne] [FFF] – Alliance Citoyennemilitait pour la présence du burqini dans les piscines de Grenoble et de Lyon. Et, dans son communiqué regrettant la décision du Conseil d’Etat, la LDH « oublie » qu’elle était aux côtés d’Alliance Citoyenne « pour défendre la visibilité d’un signe patriarcal, d’inégalité femme-homme », nous précise notre correspondante, Leïla A.
Prier à la Récré
Atteinte à la laïcité à Nice : des prières en pleine cour de récré, Martin Lom, 21.6.23 CharlieHebdo.fr « Que se passe-t-il dans les cours de récréation à Nice ? Alors qu’on s’attendait à voir des enfants jouer à chat, les professeurs de plusieurs écoles primaires ont pu les observer… en train de prier. De quoi sidérer le rectorat qui a pris des mesures. […]«
Cinq établissements concernés, des faits « intolérables », une enquête ouverte… on fait le point sur les prières dans des écoles de Nice, 16.6.23, P. Peyret, NiceMatin.com – Le maire de Nice Christian Estrosi a dénoncé, ce jeudi, la tenue de « prières musulmanes » et l’organisation de minute de silence pour le prophète Mahomet dans des établissements scolaires de Nice. On fait le point. […] L’histoire débute à la mi-mai. Selon Natacha Chicot, rectrice de l’académie de Nice et qui confirme les faits, 5 établissements sont concernés, notamment trois écoles élémentaires de Nice. D’après la rectrice, un enfant de CM1-CM2 de l’école du Bois de Boulogne a lancé « un appel à une minute de silence en mémoire du prophète à la pause méridienne ». Un signalement pour radicalisation a été effectué. À l’école Saint-Sylvestre, à Nice, c’est un groupe d’une dizaine d’enfants qui faisaient la prière, toujours à la pause méridienne, qui a été signalé. Même chose à l’école niçoise Fuon Cauda, avec trois enfants. […] ».
Laïcité, salade niçoise ?
Commentaire.Si M. Estrosi dénonce, à juste titre, en tant qu’atteinte à la laïcité, ces prières dans des écoles de Nice, il est regrettable que cet élu, ainsi que son collègue Eric Ciotti participent et promeuvent de nombreuses cérémonies religieuses (catholiques). Rappelons à nos élus, de droite comme de gauche, quela laïcité n’est pas à géométrie variable.
A Bas l’Abaya ?
Abayas à l’école : « Le soutien de l’institution aux chefs d’établissement doit être intangible », Lisa Guillemin, Marianne.net 9.6.23. « Face à la recrudescence des abayas à l’école, les chefs d’établissement en première ligne de front se sentent toujours plus démunis. En cause, la circulaire de septembre 2022 leur laissant le soin de juger du caractère religieux ou non du port de l’abaya. Ce mardi 6 juin, le ministre de l’Éducation nationale Pap N’Diaye a réuni tous les recteurs d’Académie pour évoquer la recrudescence d’incidents liés au port de l’abaya dans les établissements scolaires. Les chefs d’établissement se sentent démunis, alors que la circulaire de septembre 2022 leur laisse la libre appréciation de décréter si le port de l’abaya revêt un comportement religieux ou non. Entretien avec Delphine Girard, professeure de lettres, comité « Vigilance Collèges Lycées », créé en réaction à la mort de Samuel Paty. […]«
Laïcité à la marseillaise ?
La « Vigie de la Laïcité 13 » épinglée par l’hebdo Le Point, qui met en lumière la présence dans les membres fondateurs, et au sein de leur bureau, d’un directeur de collège confessionnel musulman de Marseille, et également président de l’ex-UOIF, aujourd’hui Musulmans de France, considéré comme un relais des Frères Musulmans.
« Autrefois, les défenseurs historiques de la laïcité, telle la Ligue de l’Enseignement, faisait la promotion de l’école publique laïque, et n’accueillait pas en leur sein, des représentants de l’école privée confessionnelle » nous écrivent les animateurs de Vigilance Laïcité 13 sud [vigi-laicite(a)proton.me].
Prosélytisme « commercial »
Comment les Evangéliques quadrillent le territoire[titre de l’édition papier], 24.5.23, Telerama.fr, pp. 16-21. « Comment les Evangéliques séduisent la France » [titre de l’édition internet]. « Avec 2 500 communautés et l’ouverture d’une nouvelle église tous les dix jours, les évangéliques peaufinent leur implantation partout en France. Une stratégie maîtrisée, qui ne doit rien au hasard. Reportage dans le Berry […]«
Culture
« C’était l’hiver, en Camargue, après les fêtes de fin d’année, des chevaux allaient à la rencontre des enfants de la cité rurbaine »
Photo & Graphie
« juste une #image, et… un peu plus »
Une image aux Rencontres Photo d’Arles, au cloître, vers 17 h, ce 8 juillet ’23… Sur Facebook, Ida Vidal : « est-ce épuisant, rasant ou passionnant ? » ; « Ouais, c’était un peu tout cela mêlé dans une cité devenue un temps « colonie culturelle »…
Music’à Arles
Festival Convivencia, il y a 10 ans avant, du flamenco devant la devanture du disquaire d’Arles (13)
Riz en herbe, juillet 2018,en Camargue, Arles, entre le Sambuc et Salin-de-Giraud… avec un sacré petit signe discret, un clin d’oeil de la nature. « Tout est symbole », dit-on…
BonGran / BioCamargue(13) Arles, un des pionniers du riz bio camarguais (vente en boutiques, grossistes et dans les BioCoop).
Riz Canard des Rizières (30) Saint-Gilles-du-Gard, « nos canards désherbent nos rizières biologiques au coeur des marais de Saint-Gilles du Gard en Camargue » (en vente sur leur site, au Mas des Agriculteurs, magasin de producteurs de Nîmes…).
Grain de Riz, Grain de Vie, Michelle Jeanguyot & Nour Ahmadi, éd. CIRAD et Magellan & Cie 4e tr.’02, 143 pp.37,90 €, ISBN 2-914330-33-2. « Experts du Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (Cirad), les auteurs, Michelle Jeanguyot et Nour Ahmadi, nous racontent la prodigieuse histoire du riz, cette plante d’exception qui entre pour 30 % dans ce qui est consommé chaque jour sur terre. Ils nous emmènent en Inde, au Vietnam, en Chine, en Guinée, au Sénégal, à Madagascar et au Brésil… »
« Le riz de Camargue [Wikipédia], dont les premières traces de culture datent du Moyen Âge, est protégé par une IGP […]. Du XIIIe au XVIe siècle la riziculture ne cesse d’augmenter en Provence et surtout en Camargue. C’est à Henri IV que l’on doit la culture de riz en Camargue dès la fin du XVIe siècle, où il ordonna sa production […]. Dans les années 1840, les rizières vont être très utiles pour absorber l’eau des grandes crues du Rhône […] pour dessaler les terres. Grâce à cela, les terres vont être utilisées pour la culture des vignes. Au début du XXe siècle, la riziculture couvrait en Camargue 800 ha. […] Entre 1840 et 1913, plusieurs centaines d’hectares de rizières sont enregistrés. À cette époque, le riz n’est pas récolté, ou alors pour servir de nourriture aux cochons. La dernière rizière de cette époque disparaît en 1939. Le riz camarguais renaît en 1941 grâce à l’arrivée de travailleurs indochinois « accueillis » [travailleurs forcés] sous le régime de Vichy […] De 400 hectares en 1944, la Camargue passe à 3 000 ha en 1945, puis 32 000 ha en 1950 pour retomber 20 000 ha au tournant du millénaire. En 2000, le riz de Camargue bénéficie d’une indication géographique protégée (IGP) [..]. Cette zone s’étend sur 15 communes des Bouches-du-Rhône et du Gard, au cœur d’un triangle délimité par Aigues-Mortes à l’ouest, Port-Saint-Louis-du-Rhône à l’est et Tarascon au nord. […] » extrait de « Riz de Camargue / Wikipédia » – Voir aussi « Riziculture en Camargue / Wikipédia »
Riz « en herbe »au début de la Camargue (vers le Sambuc / Arles) 7.13, et séparateur de riz, blanchi et paddy (brut) à Saliers / Arles (années 1990-2000)…
Arles-Camargue, entre le Sambuc et Gimeaux (13), Rizière, Riz en herbe, avec la « mousse » de la rizière qui « bouillonne », « fermente », juillet 2013
Riz & Italie
Arles est jumelée avec Vercelli(Verceil en français), terre italienne du riz (plaine du Pô, nord-Italie). Wikipédia.
C’est une partie de notre histoire, voici quelques infos sur le sujet. Il ne s’agit nullement de faire des procès anachroniques.
« Un riz au goût amer en Camargue,Antoine Lannuzel, 11.12.09 lexpress.fr, C’est une histoire aussi incroyable que méconnue. « L’or blanc » a été introduit dans la région pendant la Seconde Guerre Mondiale par des travailleurs indochinois exploités. Une cérémonie de reconnaissance a eu lieu la veille à Arles. Le riz camarguais, qui s’affiche avec taureaux et flamands roses sur les cartes postales, est désormais célèbre. Son origine l’est beaucoup moins. Qui sait qu’elle remonte seulement à la Seconde Guerre mondiale? Et, surtout, que sa réussite masque une page enfouie, et peu glorieuse, de l’histoire coloniale ? […]«
« Riz de Camargue, une histoire indochinoise, 1.12.15, bleu-tomate.fr le mag ProvenceTransition, L’histoire est peu connue. Le riz de Camargue, emblème et richesse économique de la région est né du travail et du savoir-faire d’une poignée de paysans vietnamiens réquisitionnés au pays. Salin de Giraud : au cœur de cette terre mêlée d’eau où se perd le regard, dans le jardin de la mairie annexe, lieu républicain s’il en est, s’élève la frêle silhouette métallique d’un paysan de rizière asiatique. Il porte la houe et il est coiffé d’un turban. Une stèle pour rendre hommage aux 20 000 travailleurs indochinois de la 2e Guerre Mondiale. Le savoir-faire asiatique. Quel mystère recèle cette évocation, qui semble effacer les 10 000 km séparant la Camargue du Vietnam ? Pour le percer, il faut remonter aux années 1940. Le riz en Camargue n’a fait l’objet que de quelques tentatives pas vraiment réussies. Tout au plus en sème-t-on pour dessaler les terres et nourrir les animaux. En 1935 aucune parcelle n’a été ensemencée. Mais pendant la guerre, la pénurie s’installe. D’où l’idée d’utiliser la main d’œuvre indochinoise présente sur place pour lancer la culture du riz à grande échelle. 500 travailleurs indochinois sont alors affectés à la création des rizières. Leur savoir-faire et leur technique va faire merveille : 250 ha sont mis en culture en 1942, 400 ha en 1944. 800 tonnes sont récoltées la première année, 1250 à la fin de la Guerre. La main d’œuvre expérimentée a jeté les bases de la richesse à venir de la riziculture camarguaise. […]« .
Riziculture & Transformation. Parmi les bâtiments de l’ancienne entreprise Lustucru, une halle créée par Effel, était en phase de démontage (12.17) ; graph sur le site (12.18) ; rizière devant le site (7.05) ; manif lors de la fermeture (5.03).
L’âge des algorithmes : comment l’activisme remplace le militantisme du XXe siècle, 31.10.21 FranceCulture.fr, Signes des temps, Marc Weitzmann. « Boosté par les réseaux sociaux, un nouvel activisme remplace-t-il le militantisme encarté d’autrefois ? Le scandale des Facebook papers extrêmement documenté grâce aux fuites organisée par l’ingénieure Frances Haughen ancienne employée permet de revenir sur les effets non seulement de Facebook des réseaux sociaux sur le cours du monde depuis dix ans au moins. L’espoir que certains ont pu mettre sur l’activisme des blogueurs tunisiens ou syriens lors des printemps arabes s’est terni. On commence seulement à mesurer les effets des algorithmes dans le déclenchement d’émeutes violentes en Ethiopie, en Inde, au Pakistan, dans l’élection de Donald Trump bien sûr comme dans l’attaque contre le Capitole le 6 janvier dernier, mais aussi plus généralement dans la montée des populismes à travers le monde, et, en France […]. Intervenants : Fabrice Epelboin, entrepreneur, spécialiste des médias sociaux, enseignant à Sciences Po ; Eric Sadin, philosophe, écrivain ; Rokhaya Diallo, éditorialiste, réalisatrice [controversée]. […]«
Ecole & République Laïque
Documentaire. Profs en territoires perdus de la République, 13.10.21 LCP.fr« En 2002 paraissait Les Territoires perdus de la République [éd. Fayard coll. Pluriel], un ouvrage collectif dans lequel des professeurs de collègues et lycées de quartiers dits sensibles alertaient l’institution scolaire et l’opinion publique sur le climat de violence et d’intolérance qui s’installait dans ces établissements. La sortie du livre fut accompagnée d’un silence gêné ; un déni qui, pour ses auteurs, augurait des jours difficiles. Les attentats de janvier 2015 ont remis au centre du débat la question de la transmission des valeurs de la République. Plusieurs professeurs exerçant dans des collèges et lycées de la région parisienne livrent leur témoignage. » […]
Les Territoires perdus de la République – antisémitisme, racisme et sexisme en milieu scolaireWikipédia : « est un ouvrage collectif, éd. Éditions Mille et une nuits 2002. Sous la direction de Georges Bensoussan sous le pseudonyme d’Emmanuel Brenner, il traite, comme l’indique son sous-titre, de l’antisémitisme, du racisme et du sexisme en milieu scolaire et plus particulièrement parmi les jeunes d’origine maghrébine. Une nouvelle édition, de poche [coll. Pluriel, éd. Fayard-Hachette 4.15, 416 pp. 9 €] ». Wikipédia, vu 26.10.21
Les territoires perdus de la République, Emmanuel Brenner/Georges Bensoussan, coll. Pluriel, éd. Fayard-Hachette 4.15, ISBN 978-2-81850482-6,Préface d’Alain Finkielkraut. Postface d’Emmanuel Brenner qui raconte l’histoire du livre et l’évolution de la situation à l’aide de matériaux collectés entre 2004 et 2015. Nouvelle édition du livre qui a fait basculer le débat sur l’école. Les Territoires perdus de la République, né du constat alarmé de professeurs de l’enseignement secondaire de la région parisienne, a paru pour la première fois en 2002. Les auteurs des attaques terroristes de 2015 étaient collégiens dans des établissements peu ou prou semblables à ceux évoqués dans le livre, au sein desquels il se produisait des « incidents » à caractère antisémite, raciste et sexiste. La violence perpétrée en milieu scolaire donnait à voir la décrépitude déjà grande des valeurs qui fondent la République et assurent l’intégration des nouveaux citoyens et de leurs enfants. L’offensive islamiste se renforçait de la démission et du déni auquel notre livre se heurta encore. Aujourd’hui, il nous faut bien ouvrir tout à fait les yeux. Ce n’est plus seulement l’institution scolaire qui est confrontée à l’antisémitisme, à l’islamisme et au sexisme, c’est toute la société : à force de déni, le mal s’est étendu bien au-delà des banlieues et de leurs écoles. Avec les contributions de Élisabeth Amblard, Rachel Ahrweiler, Arlette Corvarola, Emmanuel Brenner, Sophie Ferhadjian, Élise Jacquard, Valérie Kobrin, Gabrielle Lacoudre, Barbara Lefebvre, Iannis Roder, Élisabeth Sternell, Marie Zeitgeber et d’autres professeurs de collège et de lycée. » […]
En Camargue arlésienne et gardoise, la moisson du riz s’achève…